Le réseau social de Mark Elliot Zuckerberg, le moteur de recherche Google et Twitter, est encore dans le collimateur du président des Etats-Unis. Il les accuse en effet, d’être partial et de prendre parti pour la formation politique de ses adversaires. Une fois encore le locataire de la Maison Blanche s’attaque ouvertement aux géants du Web. Cette fois-ci également, Facebook, Twitter et Google semblent l’avoir agacé.
Selon le président Américain, ces plateformes se focalisent beaucoup plus sur les informations négatives sur lui que sur les bonnes. Le réseau social Twitter particulièrement ne faciliterait pas aux fans de Donald Trump l’abonnement à sa page. « Ils ont retiré de nombreux noms et fortement ralenti le niveau et la vitesse de l’augmentation » a signalé le numéro 1 des Etats-Unis qui accorde une attention particulière aux réseaux sociaux.
Pour lui tous ces réseaux sociaux sont très favorables au camp adverse. « Facebook, Twitter et Google sont tellement favorables aux démocrates, c’est ridicule ! » indique-t-il sur son compte Twitter. Ces accusations du président de la première puissance économique au monde sont récurrentes ces derniers mois. Il avait déjà incriminé ces mêmes réseaux pour le même motif courant Août dernier. « Google, Twitter et Facebook naviguent en eaux très troubles et doivent faire attention », avait-t-il lancé à l’issue d’une rencontre avec le président de la FIFA, Gianni Infantino.
Google réfute la thèse de partialité
« Notre but est de nous assurer que les utilisateurs qui tapent une recherche dans la fenêtre Recherche de Google reçoivent le résultat le plus pertinent en quelques secondes » avaient déclaré les responsables de ce moteur de recherche.
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