Soudan : un journaliste britannique accuse le gouvernement de tortures

Il s’était rendu au Soudan pour enquêter sur une prétendue utilisation d’armes chimiques par le gouvernement. C’était en décembre 2016.

Dans une tribune sur le site du « Guardian« , Phil Cox, journaliste de la chaîne anglaise Channel 4 a raconté son calvaire à son arrivée à Khartoum. Il était accompagné de Daoud Hari, son interprète qui a lui aussi subi le même sort.

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Battus, électrocutés, enchaînés à des arbres, les deux hommes ont vécu un véritable enfer. Soutenus par Amnesty International qui avait publié le rapport sur les armes chimiques. Pour l’ONG, avec ce nouvel élément, il faudrait une enquête internationale sur l’affaire.

Du côté de Khartoum, on affirme juste que le journaliste et son interprète étaient rentrés illégalement au Soudan. Quant à l’accusation d’Amnesty sur les armes chimiques, circulez, il n’y a rien à voir!

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