Ce vendredi 6 novembre, les autorités russes ont confirmé qu’Alexeï Navalny souffrait d’une pancréatite et que, jamais, il n’avait été empoisonné. Pour rappel, l’opposant au régime Poutine est tombé malade avant d’être transféré à Berlin, en Allemagne, d’où il a été soigné. Pour beaucoup de nations et d’experts, ce dernier a bel et bien été empoisonné.
C’est via un communiqué de presse que les autorités russes ont confirmé la nouvelle. Selon elles, le diagnostic final est sans appel. En effet, les études chimiques et toxicologiques menées sur les relevés effectués sur Navalny laissent penser à une pancréatite. À ce jour, selon le service de presse de l’antenne sibérienne de la police russe, le diagnostic d’un empoisonnement ne peut être confirmé.
Navalny n’a pas été empoisonné
Or, pour beaucoup, Navalny a été empoisonné au Novitchok, un agent neurotoxique élaboré à l’époque de l’URSS. Actuellement en convalescence, Navalny n’a pas hésité à pointer du doigt ce diagnostic et accuse le président Poutine d’être responsable de sa situation. Bien entendu, du côté de Moscou, on réfute avec force ces accusations. Les services secrets occidentaux et les proches de l’opposant ont même été accusé.
La Russie, ferme sur ses positions
Pour certains, l’Europe aurait effectivement bénéficié de la mort de Navalny, pour accentuer la pression sur la Russie. Une sortie qui a suscité la colère de Nalvalny en personne. Pour lui, les services secrets se marchent désormais sur les pieds avec deux versions sorties le même jour. D’un côté, le ministère de l’Intérieur affirme qu’il n’y a pas eu d’empoisonnement et de l’autres, certains accusent les Occidentaux.
Laisser un commentaire