Nicolas Sarkozy, toujours empêtré dans la fameuse affaire Kadhafi. En effet, l’ancien Président de la République française, mis en cause en octobre 2023, est ouvertement suspecté par la justice Française, d’avoir avalisé des opérations dans le but d’obtenir, courant 2020, la volte-face de monsieur Takieddine dans cette affaire.
Pour rappel, ce dernier est le principal témoin à charge de cette affaire rocambolesque, qui suit la trace de l’ancien chef de l’État, comme son nombre. Aujourd’hui, nouveau rebondissement. En effet, l’épouse de Nicolas Sarkozy, Carla Bruni-Sarkozy, a reconnu au cours d’une audition survenue en juillet dernier, avoir détenu un téléphone portable, au cœur de l’enquête.
Carla Bruni-Sarkozy reconnaît des faits
Suite à cette enquête, la chanteuse sera alors mise en examen par deux juges parisiens. Ces derniers l’ont effectivement poursuivi pour “recel de subordination de témoin” et “association de malfaiteurs en vue d’une escroquerie au jugement en bande organisée”. L’affaire sera jugée au début de l’année 2025, dans les quelques semaines à venir, juste après les fêtes de fin d’année.
Ce téléphone, Carla Bruni-Sarkozy l’aurait utilisé afin d’échanger de manière la plus discrète possible, avec Mimi Marchand, une ancienne proche de la chanteuse, qui dispose d’importantes connexions dans le monde people. Un téléphone qu’elle a nié avoir eu pendant de longs mois, avant de finalement avouer aux forces de l’ordre qu’elle en a bien été la propriétaire, un temps donné.
Une affaire qui sera jugée en 2025
Un téléphone qu’elle a avoué avoir utilisé plusieurs fois, assurant toutefois n’avoir jamais échangé avec Mimi Marchand dans le cadre de la mise en place de cette opération visant à pousser Ziad Takieddine à se rétracter. Les avocats de la chanteuse confirment ses dires, ajoutant que la ligne de ce téléphone avait été ouverte bien avant l’affaire et que ce cellulaire avait aussi servi à discuter avec des membres proches de sa famille, qui n’ont rien à voir avec l’histoire.
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