Le géant du divertissement pour adultes, Dorcel, a lancé une expansion de ses activités sur le continent africain afin de répondre aux attentes du marché local. Ce déploiement s’est accompagné de l’adaptation des pratiques de recrutement aux réalités régionales, ouvrant la voie à des méthodes qui, dès leur mise en œuvre, ont suscité des interrogations sur leur éthique et sur les conditions de travail.
Une stratégie d’expansion et ses répercussions
L’enquête parue le 24 février 2025 dans le magazine Jeune Afrique met en lumière le lien direct entre l’expansion de Dorcel en Afrique et l’émergence de pratiques de recrutement controversées. Le rapport souligne que, dans le cadre de cette stratégie d’implantation, des méthodes de sélection spécifiques ont été adoptées pour intégrer de nouveaux talents dans l’industrie pour adultes, soulevant des questions sur la transparence et le respect des droits des professionnels concernés.
Réactions mitigées et prises de position attendues
Au cœur de la controverse se trouve Esther Biiga, une personnalité influente du cinéma camerounais, dont l’implication dans la mise en œuvre de ces procédures de recrutement est désormais vivement débattue. Interrogée récemment, elle a indiqué qu’elle aborderait la question ultérieurement, sans apporter de précisions pour l’instant. Les réactions sur les réseaux sociaux restent partagées, entre soutien à son parcours artistique et demande d’éclaircissements sur son rôle dans ce dispositif. Cette situation relance le débat sur l’impact de l’expansion de Dorcel en Afrique et sur la nécessité d’un encadrement rigoureux des pratiques de recrutement dans un secteur en pleine mutation.
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