Le Vatican hausse le ton face à la montée en popularité des relations non exclusives. Cette annonce est à surtout lire entre ligne, car à l’heure actuelle, ses représentants n’ont pas officiellement pris position. En interne toutefois, un document intitulé One Flesh – In Praise of Monogamy, approuvé par le pape Léon XIV, a été dévoilé.
Dans ce texte, l’Église catholique réaffirme que le mariage, dans sa définition théologique, reste la seule forme d’union à la fois stable et exclusive, entre deux individus. Il y est même précisé, entre un homme et une femme, remettant ainsi indirectement en cause le mariage du même sexe.
Le Vatican fustige le polyamour
Concrètement, le Vatican fustige les nouvelles normes occidentales, ouvertement affichées, de relations non-monogames. On parle aussi de “polyamour”. Une dérive contemporaine que le Vatican fustige. Mais la question de la polygamie (le mariage à plusieurs) est aussi évoquée, alors qu’elle représente un défi récurrent pour la plupart des évêques catholiques œuvrant en Afrique, notamment.
Dans les faits, ce texte critique la vision erronée, selon lui, que les relations polygames ou polyamoureuses laissent entendre l’idée que l’intensité d’une relation se fonde sur le nombre de personnes qui l’intègrent. Or, cela se traduit finalement par un mariage moins solide, avec une hausse assez importante du nombre des divorces, une banalisation de l’infidélité et des unions globalement plus fragiles.
Le Vatican prône pour le retour du « vrai » mariage
Le cardinal Víctor Manuel Fernández, préfet du dicastère chargé de travaillé autour de cette nouvelle doctrine, précise toutefois que l’objectif de ce document est avant tout de rappeler les raisons profondes qui fondent “le choix d’une union unique et exclusive, faite d’un don total et réciproque” entre deux individus. Une mise au point jugée nécessaire par le Vatican, qui semble ainsi se désoler face à la fragilité nouvelle des unions.

Le gang des PDopfiles qui fustige le polyamour !
T’en es où avec tes prêtres qui tripotent les petits garsons, Léon ?