C’est un nouveau partenariat européen qui vient d’être annoncé. En effet, ce jeudi, le Royaume-Uni et la Norvège ont officialisé leur nouveau projet de défense. Conjointement, ces deux pays exploiteront une flotte de frégates chargée de surveiller et de repousser l’activité croissante des sous-marins russes en Atlantique Nord.
Une annonce qui intervient dans un contexte tendu, marqué par la montée des tensions entre l’Union européenne et la Russie, dans le cadre de la guerre en Ukraine. Outre les tensions politiques ou sur le terrain, la Russie est aussi accusée de tentative de déstabilisation, notamment en ligne, sur les réseaux sociaux.
Oslo et Londres annoncent un partenariat militaire
Cela marque aussi le rapprochement entre les deux pays. Il y a quelques mois, Oslo annonçait l’achat d’au moins cinq frégates Type 26 auprès du britannique BAE Systems, pour un montant d’environ 10 milliards de livres. Un rapprochement qui acte le renforcement de la coopération entre le Royaume-Uni et la Norvège.
Cet accord prévoit également la mise en service d’une flotte conjointe de 13 frégates, huit britanniques et cinq norvégiennes. Celles-ci patrouilleront un peu partout dans les mers européennes, principalement dans l’axe Groenland, l’Islande et Royaume-Uni. Il s’agit d’un corridor particulièrement emprunté et les Européens craignent que la présence de sous-marins russes continue d’y croitre.
30% d’activité en plus, selon Londres
Selon Londres, l’activité des sous-marins russes dans les eaux britanniques a bondi de 30% en l’espace de deux ans seulement. L’objectif est donc d’être opérationnel assez rapidement, pour surveiller les opérations menées sur place et rapporter les observations effectuées sur place au reste des partenaires européens.
De quoi, éventuellement, accentuer les pressions sur la Russie. En effet, l’Europe a dans le même temps, confirmé vouloir définitivement se passer des hydrocarbures russes (notamment les importations de gaz) d’ici au début de l’année 2027. Un coup dur pour l’économie et la machine militaire russe, qui reposent principalement sur la gestion de cette ressource naturelle.
Les têtes de veaux anglaises ont trempé dans tous les coups tordus ukrainiens. Les derniers en date : les actes de piraterie sur des pétroliers CIVILS transportant du pétrole russe.
Les Russes n’oublieront pas. Ils ont éliminé Stepan Bandera en 1959, 14 ans après la fin de la guerre. Certains angliches doivent se préparer au même traitement, en son temps.
Bonne chance … ces petits cigares peuvent faire des trous dans les coques de noix de la perfide albion
Ce sont des annonces qui font pâlir les pays du Tiers-Monde. Pas les Russes.
Sinon que tout ce dispositif ne fait qu’accentuer la frilosité des autorités Norvégiennes et Britanniques.
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