Une enquête récente a clarifié les circonstances derrière la mort de Dawn Sturgess, accidentellement exposée à un agent neurotoxique sur le sol britannique. Cette affaire rappelle que des actions menées par des États peuvent avoir des conséquences directes sur des civils innocents.
La responsabilité attribuée à Vladimir Poutine et au GRU
En juillet 2018, Dawn Sturgess, une habitante du Royaume-Uni, est décédée après avoir été exposée à un flacon contenant un agent neurotoxique puissant. Elle pensait manipuler un parfum, mais la substance qu’elle a touchée s’est révélée être du Novitchok, le même type de poison utilisé quelques mois plus tôt contre l’ancien espion russe Sergueï Skripal et sa fille. Cette exposition accidentelle a transformé Sturgess en victime indirecte d’une opération chimique qui a laissé des traces sur le sol britannique.
L’enquête indépendante publiée le 4 décembre a attribué la responsabilité morale de son décès à Vladimir Poutine et a désigné le renseignement militaire russe (GRU) comme l’entité ayant manipulé la substance. Cette décision confirme que la victime est devenue un dommage collatéral d’une opération visant un ancien espion russe.
Mesures et enjeux diplomatiques
Le gouvernement britannique a exigé de Moscou qu’il mette un terme à ses activités hostiles envers le Royaume-Uni et l’Otan. Des sanctions ont été imposées sur l’ensemble du renseignement militaire russe afin de montrer la gravité des conséquences pour les civils.




Ben oui, Poutine est très méchant, donc il fait des choses très méchantes !
Rien depuis 2018 ? Il a fait la sieste ou quoi ?