Le tout puissant salséro Michel Pinheiro, est en concert live au centre culturel français de Cotonou aujourd’hui 04 avril 2008. Il rassure ici sur le succès que va constituer ce concert. Vous donnez un méga concert live au centre culturel français de Cotonou ce jour dans la soirée. Que promettez-vous au juste aux mélomanes ?
Du boucan ! Il y aura du boucan et beaucoup de surprises. Mon deuxième album solo baptisé «Agoh» sera passé de fond en comble. Le premier en hommage aux paysans ne manquera pas au menu. Il y aura une sauce à la salsa assaisonnée de l’orchestration du célèbre groupe Black Santiago. Depuis mon retour au pays le mois dernier, nous n’avons pas arrêté de faire des répétitions afin que les musiciens aient une maîtrise parfaite de mes morceaux. Ce soir donc, je donnerai une fête inédite. Vous vous en rendrez compte vous-même.
Après le lancement de l’album «Agoh» à Cotonou, êtes-vous satisfait de l’accueil du public?
Le public n’a pas encore bien connu «Agoh» et ce n’est pas de sa faute. Puisque je réside en France, il a manqué un peu de promotion pour l’album. La distribution n’a pas été faite, surtout au niveau des médias afin que les radios puissent en disposer convenablement et jouer momentanément des titres de leur choix. Je n’avais pas non plus réalisé assez de clip pour mettre à la disposition des télévisions. Mais, depuis le début de l’année, les données sont en train de changer. C’est d’ailleurs pourquoi, je donne le présent concert entièrement live. Cela participe d’une manière ou d’une autre de la promotion de l’album.
Après le concert, quelle sera
la suite ?
Pour l’instant, c’est la succès du concert qui me préoccupe. Et, je puis vous rassurer que tout est fin prêt pour que la fête soit belle. Mais, le concert n’arrête pas la promotion de l’album ! Il y a l’agence Fifa médiation qui s’occupe de l’essentiel. Il s’agit de la distribution du produit, du dépôt dans les organes de presse audiovisuelle, de la réalisation de nouveaux clips, etc. Donc, la promotion va pour le mieux pour l’heure. Cette même promotion se poursuit également en France, au Mali, au Burkina Faso, en Côte d’Ivoire.
Propos recueillis par
Fortuné Sossa
Laisser un commentaire