Comment prendre en charge les enfants victimes
Le sida a rendu orphelins plus de quatorze millions d’enfants dans le monde dont 80% vivent en Afrique subsaharienne. Ces enfants encourent des risques de malnutrition, de maladie voire de maltraitance et ont besoin d’être pris en charge. Une question cruciale.
Le sida a rendu orphelins plus de quatorze millions d’enfants dans le monde dont 80% vivent en Afrique subsaharienne. Ces enfants encourent des risques de malnutrition, de maladie voire de maltraitance et ont besoin d’être pris en charge. Une question cruciale.
C’est le seul moyen de les faire bénéficier d’un environnement social propice à leur épanouissement, leur développement et de leur assurer un accès aux soins. A cet effet, des démarches sont impérieuses à prendre pour proposer une prise en charge globale des orphelins et enfants vulnérables. Au Bénin, grâce à une politique volontariste en matière de lutte contre le sida, la prise en charge thérapeutique s’étend de manière significative et le nombre de personnes infectées prises en charge va croissant.
Face au constat de la statistique des structures qui s’occupent de cette question, il incombe aujourd’hui que l’on contribue à la prévention, au dépistage et à la prise en charge du sida et des Ist dans le nord Bénin, zones frontalières avec le Niger, espaces d’échanges économiques et de brassages de populations particulièrement exposées à des risques de propagations des Ist/Vih/sida .
Face à cette action de prévention, l’enjeu consiste dès lors à appuyer la décentralisation des actions de prévention et de prise en charge. Consciente que la lutte contre le sida ne pourra être efficace qu’en améliorant l’accès aux soins de santé primaire .A ce sujet des activités sont financées dans le cadre du programme de lutte contre ce mal qui décime les bras valides de notre pays, espoir d’un meilleur lendemain. Au nombre des activités menées, on peut citer des ateliers de prévention qui sont organisés dans les grands marchés, les fêtes populaires, dans le but de sensibiliser les populations sur ce mal du siècle. Maintes actions ont été menées pour améliorer les soins de santé des sujets infectés et réduire le taux de prévalence chez nous. Mais elle n’est pas encore satisfaisante, des efforts restent à déployer tant au niveau du peuple que des structures qui s’occupent du sujet afin que cela ne soit pas un issu d’enrichissement pour les uns et de vie pas trop reluisante pour les autres. Reste à souhaiter que la question de prise en charge thérapeutique du Vih / Sida soit examinée dans son entièreté à l’avenir.
Esther Badou
Face au constat de la statistique des structures qui s’occupent de cette question, il incombe aujourd’hui que l’on contribue à la prévention, au dépistage et à la prise en charge du sida et des Ist dans le nord Bénin, zones frontalières avec le Niger, espaces d’échanges économiques et de brassages de populations particulièrement exposées à des risques de propagations des Ist/Vih/sida .
Face à cette action de prévention, l’enjeu consiste dès lors à appuyer la décentralisation des actions de prévention et de prise en charge. Consciente que la lutte contre le sida ne pourra être efficace qu’en améliorant l’accès aux soins de santé primaire .A ce sujet des activités sont financées dans le cadre du programme de lutte contre ce mal qui décime les bras valides de notre pays, espoir d’un meilleur lendemain. Au nombre des activités menées, on peut citer des ateliers de prévention qui sont organisés dans les grands marchés, les fêtes populaires, dans le but de sensibiliser les populations sur ce mal du siècle. Maintes actions ont été menées pour améliorer les soins de santé des sujets infectés et réduire le taux de prévalence chez nous. Mais elle n’est pas encore satisfaisante, des efforts restent à déployer tant au niveau du peuple que des structures qui s’occupent du sujet afin que cela ne soit pas un issu d’enrichissement pour les uns et de vie pas trop reluisante pour les autres. Reste à souhaiter que la question de prise en charge thérapeutique du Vih / Sida soit examinée dans son entièreté à l’avenir.
Esther Badou