Ministère du Commerce

/food/ouinsavi.jpg » hspace= »6″ alt= » » title= » »  » /> Déjà, une pile de revendications sur la table de Christine Ouinsavi
Le ministre de l’Industrie et commerce, Grégoire Akofodji, a passé le volet du commerce à Christine Ouinsavi, ex-ministre de l’Enseignement primaire. Mais lors de la passation de service, les syndicalistes ont soulevé plusieurs points de revendications à satisfaire dans l’urgence.

Ainsi, les travailleurs exigent la résolution du problème de l’acquisition d’un nouvel ascenseur, de l’insuffisance des crédits alloués aux directions départementales, de la promotion des cadres techniques compétents aux postes de responsabilités au sein du ministère, de l’institutionnalisation et l’organisation des concours professionnels pour tous les corps du secteur du commerce. Ils réclament également la décoration des agents méritants surtout ceux dont les dossiers sont en instance, le reversement à la catégorie supérieure des agents ayant fait plus de vingt ans sans concours professionnel, la généralisation du texte qui favorise les agents à bénéficier d’échelle supérieure, le paiement de primes relatives aux travaux de commission de promotion, la titularisation et l’avancement aux agents des directions des ressources humaines, la formation diplomate et le renforcement systématique des capacités des agents du ministère. Ensuite, les travailleurs demandent l’acquisition du logiciel de calcul des primes de rendement, la reprise de l’organisation des fêtes de Noël au profit des enfants du personnel du ministère et des ristournes provenant des cotisations de la Ccib au profit au profit des agents des directions départementales. Les syndicalistes restent convaincus que le gouvernement dispose des moyens pour satisfaire toutes ces revendications à cause des dépenses monstrueuses que l’Etat effectue.
Le ministre du Commerce sortant, Grégoire Akofodji, après avoir dressé un bilan élogieux de ses actions, a appelé le personnel à collaborer avec le ministre Christine Ouinsavi. Selon ses déclarations, tout le monde doit se mettre au travail pour faire du Bénin un pays émergent, conformément aux vœux du chef de l’Etat. Pour madame Ouinsavi, l’heure est au travail. Pour ce faire, elle a sollicité l’appui du personnel de son ministère pour atteindre ses objectifs.

Jules Yaovi MAOUSSI

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