« Comment peut-on détruire la vie de quelqu’un comme ça… d’’une famille, d’une mère… ? Mon fils, il ne boit pas, il ne fume pas ! » ainsi s’exprimait la mère meurtrie de Guy Morel Yapo un jeune ivoirien de la cité de Stains dans la banlieue parisienne assassiné par le grand frère de sa petite amie, algerienne avec qui il venait d’avoir des relations sexuelles.
« (…) une jeune Anissa, folle amoureuse de Guy Morel, qui lui a envoyé un texto en disant qu’elle était contente d’avoir perdu sa virginité avec l’homme qu’elle aimait. Son grand-frère, donc l’assassin : Kévin vole le portable de sa petite sœur. Voit ses texto et devient fou. Prend un couteau de cuisine, vient l’attendre avec son camion devant la maison. Ils s’embrouillent, ils arrivent dehors. Et le gars sort un couteau et le poignarde ». Rapporte le site de rfi. Un assassinat lâche avec en fond de toile un racisme latent qui ne dit pas son nom
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