Le Ceg1 de Kétou a abrité hier le lancement des épreuves écrites de l’examen du brevet d’étude du premier cycle (Bepc) session de juin 2013.
Le préfet des départements de l’Ouémé et du plateau, François Houessou, le Directeur départementale de l’enseignement secondaire de la formation professionnelle et technique (Ddesfpt) Ouémé-Plateau, Noel Adédjobi, le maire de Kétou, Osséni Salami sans oublier les représentants de têtes couronnées de la localité le député de la 21è circonscription électorale, Firmin Biokou et son homologue de la 22è, Kakpo Zannouétaient de la partie.
Après vérification des enveloppes scellées contenant les épreuves, le lancement proprement dit a été effectué par le Ddesfpt. A en croire Noel Adédjobi, c’est inédit parce que c’est la première fois qu’un tel lancement se fait dans Kétou. De sages conseils pratiques ont été donnés aux candidats. «Vous êtes en mission et nous sommes arrivés pour voir comment les choses se passent….je souhaite que vous vous concentrez correctement…», a déclaré le Ddesfpt. Il sera appuyé par le préfet, le maire de Kétou et les députés présents.
La délégation s’est ensuite ébranlée vers d’autres centres d’examen, notamment le centre de Sakété, Pobè, Dangbo. Mais à cette étape, une irrégularité a été dénoncée puisqu’un individu du nom de M. Lokonon, aurait fait irruption au Ceg1 de Dangbo pour frauder et se faire passer pour un surveillant de classe. Malheureusement pour lui, il a été pris dans les mailles de la gendarmerie nationale.
Signalons que dans les deux départements, plusieurs centres ont enregistrés des cas de candidats qui ne sont pas enregistrés ou parfois des candidats libres qui détiennent par-devers eux des cartes Lépi pour composer. Le comble c’est que beaucoup d’absences ont été enregistrées dans les départements de l’Ouémé et du Plateau. Les responsables de la Ddesftp saisis ont demandé alors aux chefs centres d’autoriser ceux là à composer mais s’ils n’amènaient pas leur pièce nationale d’identité, ils seraient renvoyés dans l’après-midi.
Précisons que 37.667 candidats composent dans l’Ouémé-Plateau. La première épreuve d’hier matin était celle de la communication écrite.