Invités ce vendredi 24 janvier à une rencontre avec le Chef de l’Etat, les Secrétaires généraux des confédérations syndicales et la Fésyntra-Finances en lutte n’ont pu y être. La raison : un problème de calendrier. Un problème de calendrier. C’est la raison qu’ont avancée les Secrétaires généraux des Confédérations syndicales et de la Fésyntra-Finances en lutte qui ont tenu dans l’après-midi de ce vendredi 24 janvier un point de presse pour justifier leur absence à une séance de rencontre que présiderait le Chef de l’Etat.
Rencontre qui était prévue pour un peu plus tôt dans la matinée de ce vendredi au Palais de la Marina. Selon les explications du Secrétaire général de la Cgtb, Pascal Todjinou, ils- les Sg- avaient donné accord de principe pour participer ce même vendredi à 10 heures à une séance de travail avec le Haut Commissaire à la Gouvernance Concertée. «Nous sommes déjà préparés pour aller à cette rencontre quand très tôt ce matin aux environs de 9 heures pour certains, 9 heures et demie pour d’autres, le Ministre du travail a contacté individuellement chaque Secrétaire général pour dire que « le Chef de l’Etat vous reçoit à 11 heures», a détaillé Pascal Todjinou qui précise qu’ils ont fait part au ministre de leur rencontre avec le Haut commissaire. A en croire Paul Essè Iko, Sg de la Cstb, entre la rencontre avec le Haut Commissaire et le retour des Sg à la Bourse du Travail pour concertation, il s’est écoulé un peu plus de 2 heures. «Le Chef de l’Etat aimant beaucoup l’exactitude…, nous avons préféré écrire au ministre pour lui demander de reporter la rencontre», a souligné le Sg Todjinou. Sinon, insiste Paul Essè Iko, «nous n’avons pas rejeté l’offre du Gouvernement». Mais «c’était un problème de calendrier», a précisé Christophe Dovonon, Sg de la Cspib qui invite les travailleurs à observer davantage la grève qui a été reconduite pour 72 heures à compter de ce mardi 28 janvier
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