Les fidèles et sympathisants de l’Eglise du Christianisme céleste, sur initiative de la Fondation les amis du Dieu d’Oschoffa (Fao), ont commémoré du 24 au 26 septembre dernier, le 30ème anniversaire du rappel à Dieu du prophète Samuel Biléou Joseph Oschoffa, fondateur de ladite Eglise.
1985-2015. 30 ans déjà que le prophète pasteur fondateur de l’Eglise du Christianisme céleste (E.c.c) Samuel Biléou Joseph Oschoffa a été rappelé à Dieu. Mais les fidèles de l’Eglise s’en souviennent encore comme si c’était hier. A travers plusieurs activités les 24, 25 et 26 septembre, ils lui ont rendu un hommage mérité pour marquer ce 30ème anniversaire de son décès. Et ce, sous l’égide de la Fondation les amis du Dieu d’Oschoffa (Fao) avec l’accord du Saint-siège de l’Eglise. A en croire le Président du Comité d’organisation, Supérieur senior évangéliste Darius Atakui, il est important que l’Eglise commémore ses trente ans de rappel à Dieu du prophète. «Cet homme a une dimension spirituel incommensurable. » témoigne-t-il. Pour lui, certes le prophète est décédé il y a 3O ans mais son esprit veille encore sur son Eglise. Déjà, pour ouvert les activités le jeudi, la Fondation a réuni les fidèles de l’Eglise pour parler de cette dimension spirituelle de l’homme, de sa vie, et de l’Ecc en général. C’était à la faveur d’une conférence débat qui a lieu au Bénin royal hôtel à Cotonou autour de plusieurs thèmes dont «Eglise du christianisme céleste : secte ou religion», «Oschoffa, l’homme avant l’appel», «Oschoffa, sa mission au Bénin 1947-1975», «Oschoffa, de 1976 à 1985 au Nigéria», «Oschoffa à l’image des prophètes de l’ancien testament», «Oschoffa comparé aux prophètes du Nouveau Testament notamment Jésus-Christ» et «Les pratiques au niveau de l’Ecc». Ce fut une occasion de témoignages et d’échanges animée par des responsables de l’Eglise qui ont vécu avec le pasteur ou qui ont fait des recherches sur lui.
Après cette conférence, la commémoration s’est poursuivie vendredi à la place Lénine d’Akpakpa le vendredi avec une séance d’évangélisation et de louanges. Et puis le samedi, un culte en mémoire de l’élu disparu