Coupe du monde de 2010 : Domenech blanchit Anelka, mais parle de manque de respect

Près de huit ans après, Raymond Domenech a décidé de décharger Nicolas Anelka en dévoilant ce qui s’est réellement passé das les vestiaires de l’équipe de France de football, à l’occasion de la mi-temps du match entre les bleus et le Mexique. En France, les souvenirs de la Coupe du Monde 2010 sont toujours bien ancrés. En effet, près de huit ans, après que les joueurs aient refusé de descendre du bus, personne n’a réellement pardonné. Résultat, à chaque événement sportif, il est visiblement de coutume de se souvenir de ce triste épisode afin de tout faire pour ne pas le revivre.

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Récemment, c’est l’ancien sélectionneur de l’Équipe de France de football, Raymond Domenech, qui est revenu sur cette compétition, déchargeant Nicolas Anelka. En effet, à l’époque, le journal l’Équipe lui prêtait des propos très insultants à l’encontre du sélectionneur de l’époque : « Va te faire enculer, sale fils de p**e ! ». Un triste événement, qui a poussé la Fédération Française de Football a exclure l’attaquant de la compétition, provoquant par la même occasion la grève de Knysna.

Un épisode qui a marqué l’histoire du football

Selon Domenech, le joueur ne l’aurait jamais insulté, c’en est d’ailleurs « une certitude ». Toujours selon l’ancien coach, ce dernier aurait en fait mal pris une réflexion de son coach, qui lui demandait de prendre la profondeur, chose qu’il ne souhaitait visiblement pas faire. Résultat, énervé, Anelka lâche « tu n’as qu’à la faire, ton équipe de merde ». Une petite pique qui aura poussé Domenech à le remplacer par André Pierre Gignac.

Mais alors, pourquoi avoir laissé la FFF l’expulsé de la compétition ? Le tutoiement. En effet, Raymond Domenech a tout simplement mal pris le fait que le rapport sélectionneur-joueur se soit cassé devant tout le monde. Ainsi, c’est face au manque de respect de la fonction que le coach a décidé de laisser faire. Une décision qui hante toujours Nicolas Anelka puisque le joueur ne rate jamais une occasion d’asséner un tacle assassin à son ancien entraîneur.

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