Steve Greenberg, l’avocat de l’artiste musicien américain, Robert Kelly, signe et persiste. Pour lui aucun autre aboutissement n’est possible pour le procès à venir en viol et autres abus sexuels à l’encontre de son client à part le verdict de non-culpabilité. Ce vendredi il battait en brèche les allégations de la partie civile prétendant avoir des vidéos témoins accablantes.
« Il n’y a aucune vidéos là dehors »
Robert Kelly est accusé par quatre femmes dont une mineure, 14 ans, au moment des faits pour abus sexuels aggravés. En février, Michael Avenatti, l’avocat de deux des plaignantes avait affirmé détenir des vidéos de type pornographique que R. Kelly aurait lui-même réalisé au moment de ses rapports sexuels notamment avec la mineure. Ces cassettes, Avenatti, avaient déclaré les avoir remis au procureur de Chicago, Kim Foxx. En outre une chaine d’investigation américaine aurait rapporté avoir pu visionner une des bandes vidéos sans pour autant pouvoir confirmer sans ambages que l’homme en scène était bien R. Kelly.
Cependant, Me Avenatti aurait annoncé récemment avoir d’autres vidéos plus incriminantes, et différentes en tout de celles présentées précédemment. Et selon la presse américaine, Il aurait révélé des détails explicites sur la nouvelle bande présumée. Dans cette bande, la fille se serait présenté comme une jeune fille de 14 ans, et la star Kelly aurait tenté de l’amadouer avec des phrases comme «Donne-moi cette jeune chose de 14 ans » ou encore « Donnez-moi ce butin de 14 ans ».
Allégations, simple allégations auraient répondu Greenberg, aux déclarations de Avenatti, « Il n’y a aucune nouvelle vidéos là dehors(…) Ce n’est pas une vidéo nouvelle ou différente de celle dans laquelle un jury avait décidé de ne pas reconnaitre R. Kelly ».
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