Le législateur du Québec introduisait il y a peu, un projet de loi tendant à interdire le port ou une quelconque ostentation de signes à caractère religieux, dans l’administration publique chez les fonctionnaires disposant d’une parcelle d’autorité. Seulement, selon la presse, le gouvernement aurait de la peine à définir le caractère de l’alliance de Mariage.
L’alliance sauvée in extremis
Selon la presse canadienne, dans Le projet de loi 21, qui était toujours examiné par un comité législatif lors d’audiences publiques, serait l’objet de nombreuses controverses. Le gouvernement du Québec aurait beaucoup insisté sur le fait qu’il visait à maintenir le caractère laïc des institutions publiques du Québec et à assurer que le gouvernement ne favorise pas officiellement foi ou religion particulière, mais les dispositions manqueraient encore de précisions.
Le projet de Loi, ‘’Bill 21’’ définirait les symboles religieux comme étant des vêtements, symbole, bijoux, ornement, accessoire ou couvre-chef portés en relation avec une conviction religieuse et pouvant raisonnablement être considéré comme faisant référence à une affiliation religieuse.
Seulement, Interrogé mercredi par des journalistes, le premier ministre québécois, François Legault, n’aurait pas été en mesure de dire si une alliance se devait d’être considérée comme un symbole religieux. Car si oui, comment faire la distinction entre une bague symbolisant une cérémonie civile et une autre bénite par une personnalité religieuse ; «Nous essayons d’être plus précis sur ce que sont les signes religieux. Bien sûr, il y aura toujours des débats sur ce qui est et ce qui ne l’est pas », aurait-t-il déclaré.
Laisser un commentaire