Pamela Anderson : elle a toujours la dent dure contre Adil Rami

Pamela Anderson - Photo Abaca

Ce vendredi dans la soirée, la Star Hollywoodienne, Pamela Anderson, était l’invité de ‘’The View’’ une émission débat sur la chaine américaine ABC. A cette occasion l’actrice n’avait pu éviter, les inévitables questions sur sa récente rupture d’avec Adil Rami un ancien joueur de l’olympique de Marseille. Un homme avec qui l’actrice aurait eu une relation suivie jusqu’à leur rupture médiatisée en Juin dernier.

« Il me fait peur »

Le mannequin de 51 ans et le footballeur marseillais ont commencé à se fréquenter en 2017 après leur rencontre au Grand Prix de Monaco. Mais récemment, en juin, Pamela Anderson a confirmé la rupture de sa relation en publiant sur son compte Instagram,  avoir découvert la double vie de Rami. Le footballeur aurait entretenu, toute leur liaison durant, des rapports conjugaux avec la mère de ses enfants, Sidonie Biémont. Si la star Hollywoodienne, se disait outrée par la trahison de Rami, elle ajoutait également que les sautes d’humeur et la violence dont elle était souvent victime, avait achevé de la convaincre de partir.

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Adil Rami : humilié, il prépare sa riposte contre Pamela Anderson

Ce vendredi, sur le plateau-télé, Pamela Anderson, aujourd’hui âgée de 52 ans,  confiait en l’occurrence avoir tourné la page Rami, « Il a tout essayé. Il m’a envoyé des fleurs, écrit des lettres.(…) Il est venu me voir à mon hôtel(…)  Je n’ai rien accepté » ; mais surtout réitérant les accusations, toujours réfutées par le footballeur, de violence ; Pamela Andeson reprenait ; « J’ai désormais un garde du corps… parce qu’il me fait peur ».

Cependant si Anderson balançait tout sur Rami, ce n’était pas le cas pour Julian Assange, père de WikiLeaks, actuellement enfermé dans une prison Londonienne. L’actrice qui  avait avec le web-activiste eu une relation soutenue, il y a quelques années, n’aurait pas manqué sur le plateau ce même vendredi, de décrier les mauvaises conditions carcérales, « qui détérioraient sa santé », dans lesquelles vivrait l’informaticien dans sa prison londonienne.

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