Les autorités tenteraient encore de savoir ce qui aurait entraîné les violences xénophobes à l’égard d’abord des Nigérians et ensuite d’autres africains sur le sol sud-africain. Le fait est que depuis Dimanche, ce serait plusieurs morts, une dégradation massive de biens appartenant pour la plupart à des nigérians et près de 400 arrestations ; qui auraient été enregistrés. En sus d’une dégradation notoire des relations diplomatiques entre les deux pays.
Un intérêt commun à rapidement endiguer la crise
La coopération entre le Nigeria et l’Afrique du Sud, ce serait un partenariat toujours plus grand dans des secteurs aussi vastes et diversifiés que ; la défense, le pétrole et le gaz, la géologie, l’exploitation minière, le traitement des minéraux, la métallurgie, l’électricité, les technologies de l’information et de la communication, et même la suppression des visas pour les passeports diplomatiques et officiels. Avec une population de 167 millions d’habitants, le Nigeria le plus grand marché africain ferait vivre et prospérer plus d’une centaine d’entreprises sud-africaines, avec des échanges entre les deux pays avoisinant les quatre milliards de USD.
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Aussi de nombreuses personnalités des deux pays se seraient donner le mot en marge du récent Forum économique mondial se déroulant actuellement au Cap en Afrique du Sud ; un forum d’ailleurs boycotter par la Nigeria ; pour appeler les différentes populations à plus de retenue. Que ce soit le ministre des Finances sud-africain Tito Mboweni, pour qui il ne pouvait avoir libre échange des biens sans celle des personnes ; à un conseiller du président nigérian qui aurait révélé la volonté du gouvernement Buhari à rapidement empêcher l’escalade ; tous s’accorderaient à reconnaître que ces violences étaient inutiles, mais surtout contre-productives.
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