La plénière de ce jeudi 31 octobre 2019 à l’Assemblée nationale du Bénin à Porto-Novo, devant connaitre de l’étude entre autres d’une proposition de loi modificative de la Constitution du 11 décembre 1990, s’est ouverte il y a quelques instants. Il est à remarquer un changement quant à la position de cette question dans l’ordre du jour.
Louis Vlavonou renvoie plus loin l’étude de la proposition de loi modificative de la Constitution du 11 décembre 1990 du Bénin dans les débats de ce jour à l’hémicycle. Le président de l’Assemblée nationale, après lecture, amendement et adoption du compte rendu sommaire de la séance du 29 octobre 2019, a décidé d’aborder l’ordre du jour de la plénière de ce jeudi 31 octobre 2019 par le point 2, celui sur la proposition de loi sur l’amnistie.
« Aller du plus simple au plus complexe »
Ce choix a suscité une réaction du député Wallis Zoumarou. «Nous avons l’ordre du jour ici, et puis vous passez au deuxième point. Pourquoi on va passer au deuxième point sans aucune explication ? On abandonne le deuxième point ? On l’a abandonné pour de bon ? Qu’est-ce qui va se passer? », a demandé le doyen du parlement.
Aux dires du président de l’Assemblée nationale, il ne s’agit pas d’un abandon du sujet mais d’un choix de gestion de l’ordre du jour. «J’ai estimé qu’il fallait aller du plus simple au plus complexe », a-t-il répondu. Le député Barthélémy Kassa lui donne raison. «Une fois l’ordre du jour adopté, ce sont vos prérogatives de savoir par où commencer, par où terminer.»
Commenter :tout n’est pas rose dans la gestion du pouvoir au benin
Tout ce qui se passe sur le plan politique…est une bonne chose…à mon avis
Depuis..3 ans…il y a des gens qui nous prenaient pour des fous…nous les anti rupturiens…qui disaient le fond des choses..
666 est un doué,stratége, intelligent..disons un joueur d’échec qui s’est placer les pions..
Ce sont nos dits résisatants qui n’ont rien compris.
Bizarrement…666 n’est pas le chef d’orchestre contrairement à ce qu’on pense…mais il joue dans la pièce…
Mais le maitre à penser est à la cour const….et c’est le premier **** de la démocratie
Batoko l’a dit…
Tenez le decret interdisant des actes administratifs…c’est lui qui l’a sujeré….
Toutes les violations de la cont c’est lui..
L’état parallèlle..c’est lui…
Arretons avec les conf de presse…