Erdogan : après la Syrie, la Libye et la Grèce, il cible un autre pays

Alors que l’Azerbaïdjan et l’Arménie sont sur le point de se livrer une guerre physique, le président turc, Recep Tayyip Erdogan a décidé de soutenir Bakou, affirmant qu’il était enfin temps de mettre fin à l’occupation arménienne sur les terres du Haut-Karabagh, qui sont, à ses yeux, des terres azéries

Selon lui, le groupe de Minsk, de l’OSCE, est tout simplement incapable de résoudre les problèmes du Haut-Karabakh. Selon lui, ce groupe a laissé ces tensions de côté, durant pas moins de 30 ans. Il fustigera alors les décideurs qui s’étonnent de voir la Turquie s’immiscer dans ce conflit, alors même que ces sanctions ont envoyé des camions armés au nord de la Syrie. Une déclaration offensive, qui laisse craindre qu’Ankara ne prête main-forte, militairement parlant, à l’Azerbaïdjan.

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Ankara affirme son soutien à Bakou

En effet, le 27 septembre dernier, le ministère turc des Affaires étrangères est monté au créneau, affirmant que son pays soutiendrait coûte que coûte l’Azerbaïdjan et que la Turquie n’hésiterait pas à lui apporter son soutien, peu importe la manière. Une sortie qui est intervenue quelques heures après que de vives tensions aient éclaté au sein de la région du Haut-Karabakh. 

Une guerre totale dans la région du Haut-Karabakh ?

Selon les premières informations, plusieurs localités ainsi que Stepanakert, la capitale de cette République autoproclamée, ont été prises à partie par des tirs d’artillerie. Plusieurs civils auraient trouvé la mort. En Arménie, la loi martiale a été décrétée, au même titre que la mobilisation générale. De même, Bakou a répondu en instaurant également la loi martiale, dans certaines régions du pays, après notamment avoir lancé une offensive sur les forces armées arméniennes.

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