Angela Levin, biographe du prince Harry, n’a pas été tendre avec ce dernier dans un article récemment publié dans le média britannique, le Sunday Telegraph. En effet, pour elle, le duc de Sussex n’est plus que « l’ombre de lui-même » depuis qu’il a quitté le Royaume-Uni pour les Etats-Unis. L’article qui se veut critique, a pour titre « comment l’Amérique a changé le prince Harry ».
« Il ne serait pas le premier homme à changer »
« Ces qualités sont beaucoup moins visibles aujourd’hui. Il semble avoir abandonné sa vie d’homme d’action pour devenir un bienfaiteur grotesque. Ce n’est vraiment pas son style de nous faire la leçon sur notre façon de vivre (ne voyagez pas en avion! Ayez moins d’enfants! Les biais inconscients peuvent conduire au racisme!). Il ne serait pas le premier homme à changer après avoir été charmé par une belle femme. S’il a longtemps hésité à être le remplaçant du prince William, il semble accepter de s’effacer derrière Meghan » a-t-elle estimé. Selon elle, le frère du prince William était « accessible » et « connecté au vrai monde ».
Angela Levin n’a pas manqué de noter que le vocabulaire du prince Harry a évolué. « Sa transformation californienne est bien avancée! Avec la duchesse, ils répètent souvent l’une de leurs phrases favorites: « l’amour l’emporte ». Je ne pense pas que beaucoup de membres seniors de la famille royale ont ressenti cet amour au cours des 12 derniers mois » a-t-elle ajouté.
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