Ce jeudi 13 janvier 2022, la salle bleue du Palais des Congrès de Cotonou a servi de cadre à une séance de présentation et d’appropriation du Programme d’actions du gouvernement (PAG 2021-2026) aux députés, membres d’institutions de la République et maires. C’est Pascal Irénée Koupaki, le secrétaire général de la présidence qui a présidé la séance. Il dira dans son exposé que le PAG II est « l’unique boussole de l’action gouvernementale ». « Tous les projets, programmes et réformes qui y sont contenus devront être mis en œuvre…afin de réaliser l’objectif global qui est d’accélérer le développement économique et social du Bénin » a poursuivi le Sg.
Accès des populations aux services sociaux de base et à la protection sociale
L’homme a par ailleurs rappelé que le pays s’attend à une croissance à deux chiffres à l’horizon 2026 , si les efforts se poursuivent, avec plus d’un million trois cent mille emplois générés. Une attention particulière est accordée au secteur de l’éducation dont la réforme est annoncée pour développer l’enseignement technique et professionnel, informe le secrétaire général du palais de la Marina. Sur le plan social, les actions du gouvernement ont en ligne de mire prioritairement, l’accès des populations aux services sociaux de base et à la protection sociale.
Réaménagement stratégique des structures impliquées dans la mise en œuvre du PAG II
Face à ces objectifs majeurs, le gouvernement a procédé à un réaménagement stratégique des structures impliquées dans le mécanisme de mise en œuvre du programme d’actions du gouvernement. Ainsi, le « rôle de planification et de coordination des actions est dévolu aux ministères du développement et de la coordination de l’action gouvernementale. La fonction de mobilisation de l’ensemble des ressources est assurée par le ministère de l’économie et des finances « .
« La supervision du dispositif des projets, programmes et réformes quinquennales est assurée par le secrétariat général de la présidence. Le volet contrôle de la qualité impérative de la gouvernance est attribué au bureau d’analyse et d’investigation » a détaillé le ministre d’état. Rappelons que le PAG II nécessitera des ressources financières estimées à 12.011 milliards de Fcfa
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