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Gdiz au Bénin: les investisseurs devront faire du social selon Laurent Gangbès

Laurent Gangbes, Directeur Général de l'Apiex / Photo : Presidence benin

Au Bénin, le gouvernement a pour ambition de développer le secteur de l’industrie. Il a créé à cet effet, la Zone industrielle de Glo-Djigbé (GDIZ). Une zone qui s’étend sur une superficie de 10.000 hectares dont 1640 ont été confiés à la SIPI, la Société d’investissement et de promotion de l’industrie. La première phase du projet couvre une superficie de 400 ha, et les travaux d’aménagement sont en cours.

Ils ne « paient aucune taxe, aucun impôt, aucun droit de douane »

Cette superficie est mise à la disposition de 32 investisseurs. Ils sont en train d’installer différentes sortes d’usines ; des usines de fabrication de matériaux de construction, de montage de téléphone et d’ordinateur, de produits pharmaceutiques, d’assemblage de motos électriques et de transformation de produits agricoles. Ces investisseurs jouissent d’un certain nombre d’avantages.

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En effet, selon Laurent Gangbès, le directeur général de l’Agence de promotion des investissements et des exportations (APIEX), ces investisseurs ne « paient aucune taxe, aucun impôt, aucun droit de douane ». Ces avantages « doivent les pousser à en redistribuer une partie dans le social. Ce que nous voulons c’est faire de Glo-Djigbé, un modèle en matière de zone » a-t-il confié à RFI. En clair , les sociétés qui vont s’installer dans la zone industrielle vont devoir « faire du social ».

2 réponses

  1. Avatar de VISION
    VISION

    Sur les sujets majeurs comme celui ci, les Dr dixit agbaya, Aziz, Napoléon 1er ne réagissent pas. 765 000 tonnes de coton produits aau Bénin seront transformés sur place. 500 tailleurs sont en train d etre formés à Gloh Djigbey …et seront recrutés
    Seul Talon a réussi cela…..

  2. Avatar de (@_@)
    (@_@)

    Je suis pour et à fond en accord avec ce concept. Avec 2 regrets :
    – pourquoi si tard et ce détour par ce projet de nouvel aéroport ?
    – pourquoi un seul, si grand et encore dans l’axe de la mégapole Ouidah, Cotonou, Porto-Novo ?

    J’ai parfois l’impression que personne ne regarde la carte du Bénin quand ils pensent : sécurité, économie, infrastructures…

    Des industries textiles à côté des champs de coton auraient localisé la chaine de valeur à côté des champs et permis un développement de Parakou par exemple.

    \\\\ ///
    (@_@)

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