Suite à l’annonce relative à la candidature de l’opposant sénégalais Ousmane Sonko à la prochaine élection présidentielle, les proches de son accusatrice Adji Sarr sont montés au créneau pour déplorer « la faiblesse coupable » des institutions. Profitant de son passage sur les antennes de RFM, Françoise Helene Gaye, présidente du collectif pour la défense des droits de Adji Sarr se dit étonnée de cette annonce alors que l’homme politique est toujours « sous contrôle judiciaire ».
Sonko sous contrôle judiciaire…
« Comment un citoyen placé sous contrôle judiciaire, un citoyen qui devait être aujourd’hui sous le coup d’un mandat de dépôt est laissé libre comme l’air, violant les règles éthiques et la sacralité de nos institutions principalement judiciaire à tel point qu’il est même le premier sénégalais à s’être déclaré candidat » , s’est-elle interrogée avant de rappeler la situation de la jeune femme au cœur de cette affaire.
Adji Sarr mène une vie « recluse » selon ses proches
Pour elle, Adji Sarr continue de vivre « quasiment en réclusion du fait des menaces multiples proférées par les partisans de Ousmane Sonko ». A la faveur d’une conférence de presse qu’il a donnée le leader du Pastef a rappelé son attachement à l’inter-coalition Yewwi Askan Wi – Wallu Sénégal. Il en a profité pour annoncer sa candidature pour la présidentielle de 2024.
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