Figure emblématique de la télévision américaine, Ellen DeGeneres a décidé de poursuivre sa vie loin de sa terre natale. En effet, l’animatrice a quitté les États-Unis pour s’installer en Angleterre avec sa compagne Portia de Rossi, exprimant un profond malaise face au climat politique américain.
Depuis la réélection de Donald Trump à la Maison-Blanche , Ellen DeGeneres dit ne plus se sentir en phase avec son pays d’origine. Cette décision d’exil n’est pas qu’un simple déménagement mais plutôt un geste fort, une façon de revendiquer des valeurs de tolérance qu’elle estime en recul dans son pays. Trump a une vision très conservatrice des choses et cela ne colle pas avec l’approche prônée par la célèbre animatrice. « La vie est meilleure ici », a-t-elle confié lors d’une interview sur la radio BBC, traduisant un réel soulagement d’avoir trouvé un environnement plus apaisé.
L’Angleterre représente à ses yeux un refuge, un espace où la différence est davantage acceptée. En témoignent ses projets personnels. Avec sa compagne, elle envisage désormais de se remarier sur le sol britannique. Ce projet est motivé par une inquiétude grandissante concernant les droits des personnes LGBT aux États-Unis depuis l’élection victorieuse de Donald Trump. Ellen DeGeneres s’est dite préoccupée par une possible remise en cause des acquis obtenus ces dernières années.
Si son départ a une dimension intime, il renvoie aussi à un malaise plus global. Pour l’animatrice, vivre dans une société inclusive est une nécessité, non un luxe. Elle souhaite continuer à s’engager en faveur de l’acceptation des différences, mais depuis un lieu où elle se sent alignée avec ses convictions. Dans ses propos, aucun discours amer ni militantisme excessif, mais une volonté claire de mener une vie en accord avec ses principes. Ce changement de cap pourrait inspirer d’autres figures publiques confrontées au même sentiment d’inadéquation.




T’as raison cocotte, les rosbeefs adorent les gouines, les trans, les femmes à barbe, tous les machins bizarres, c’est leur truc