Donald Trump affiche publiquement son ambition de remporter le prix Nobel de la Paix, multipliant les initiatives diplomatiques pour apaiser les conflits mondiaux. Le président américain s’investit sur plusieurs fronts : médiation entre l’Ukraine et la Russie après sa rencontre avec Vladimir Poutine en Alaska, facilitation d’un accord entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan, et tentatives de stabilisation au Proche-Orient.
Sa quête de reconnaissance internationale a même reçu le soutien inattendu d’Hillary Clinton, son ancienne rivale de 2016, qui a évoqué la possibilité de le nominer si ses démarches portent leurs fruits. Cette prise de position surprenante de Clinton marque un virage dans le paysage politique américain. Une alliance improbable, mais révélatrice des défis mondiaux qui appellent à une coopération au-delà des clivages.
Rencontres diplomatiques et résultats mitigés
Malgré tout, les efforts de Trump se heurtent à la réalité complexe des crises internationales. Sa rencontre avec Poutine, bien que présentée comme constructive, n’a pas abouti à un cessez-le-feu en Ukraine. Si des points d’entente ont été identifiés, les sujets les plus épineux restent sans solution, illustrant les difficultés à dénouer ces conflits enracinés.
Le président peut néanmoins se prévaloir de quelques succès, comme la réduction des tensions entre le Rwanda et la RDC, ou la prévention d’un conflit ouvert entre le Kosovo et la Serbie. Ces avancées, moins visibles, s’intègrent à sa stratégie de pacification régionale.
Ambitions contrariées et obstacles politiques
Malgré ses promesses de campagne de résoudre rapidement les crises, Trump admet que certaines situations résistent à ses efforts (on se souvient que le président américain promettait de mettre fin au conflit russo-ukrainien en 24 heures seulement).
Le président suggère par ailleurs que sa personnalité controversée pourrait jouer contre lui auprès du comité Nobel, évoquant des préjugés potentiels à son égard. Malgré tout, le soutien de madame Clinton est une vraie surprise, elle qui avait été la cible de tant de moqueries et d’insultes de la part du chef de l’État, qui, a avoué avoir été tout aussi surpris de cette main tendue.




»…Trump réagit aux propos de Clinton sur sa candidature… »
C’est le baiser de la mort.
On ne peut pas décréter le cessez-le-feu à la suite d’une rencontre. Un cessez-le-feu se négocie, il ne se décréte pas.
La Russie est une puissance militaire qui n’a pas peur des USA .
Moi je crois que l’Ukraine doit accepter d’évacuer les 4 régions du Donbass contre la paix, et laisser la diplomatie faire le reste.
Ce ne serait pas une capitulation,mais du réalisme,si non, la Russie a les moyens militaires de récupération le reste .
Si les occidentaux pensent obliger la Russie à arrêter à coup de sanction économique,c’ est un échec à l’avance.
L’Inde et la Chine suffisent largement pour permettre à la Russie de tenir bon dans tous les domaines. Et ils ne sont pas les seuls.
Tout-à-fait exact. Les Européens ont oublié que l’Inde et la Chine, qui n’ont pas bougé jusqu’à présent, se rangeront immédiatement derrière la Russie en cas de problème. Pas seulement parce que ce sont des alliés mais tout simplement parce qu’ils sont les suivants sur la liste des pays à « mettre au pas ».
Un « cessez-le-feu » n’a de raison d’être que pour des raisons humanitaires comme évacuer des blessés ou des civils. Accessoirement pour le réveillon de Noël comme ça s’est vu en 14-18.
Ici, ça n’est pas le cas du tout, les européens veulent un « cessez-le-feu » pour avoir le temps de réarmer l’Ukraine.
Ces c+o+n+s-là sont tellement paumés qu’ils se croient à un match de baskett !
C’est plus vicieux que ça !
Le calcul de Micron est le suivant : un « cessez-le-feu » INCONDITIONNEL permettrait aux européens de venir s’installer sur le territoire ukrainien sans aucun danger. Ensuite, à la fin du « cessez-le-feu », les européens se mettront devant les Ukrainiens et diront aux Russes : « Coucou, on est là, si vous nous tirez dessus, on active l’article 5 , les USA viennent en renfort et vous déclarent la guerre ! »
C’est plus vicieux que ça !
Le calcul est le suivant : un « cessez-le-feu » INCONDITIONNEL permettrait aux européens de venir s’installer sur le territoire ukrainien sans aucun danger. Ensuite, à la fin du « cessez-le-feu », les européens se mettront devant les Ukrainiens et diront aux Russes : « Coucou, on est là, si vous nous tirez dessus, on active l’article 5 , les USA se pointent et vous rentrent dedans ! »
« Sa quête de reconnaissance internationale a même reçu le soutien inattendu d’Hillary Clinton »
Encore un qu’a rien compris ! Clinton a déclaré que « Si Trump pouvait mettre fin à cette guerre sans changer les frontières, sans mettre l’Ukraine dans la position de perdre son territoire, alors seulement Trump pourrait être nominé pour le prix Nobel de la paix »
Oui, tout-à-fait. Elle se paie plutôt la tête de Trump.
Mouais, Hillary, c’est quand elle est gentille qu’elle est la plus dangereuse … une vraie femelle scorpion, cette p*** de s****
Je confirme plus russophobe que cette p*** de s****, faut commencer à creuser. Même Victoria Nuland est pas au niveau
»…Malgré tout, le soutien de madame Clinton est une vraie surprise,… »
Tu parles d’une surprise.
C’est le baiser de la m-o-r-t.