Le président Donald Trump a profité de son discours à l’Assemblée générale des Nations Unies à New York le 23 septembre 2025 pour remettre en cause la réalité du changement climatique. Il a présenté ce phénomène comme une « arnaque » mondiale, accusant certaines politiques environnementales d’affaiblir les économies nationales. Ses propos interviennent alors que les débats sur la transition énergétique et les engagements internationaux se poursuivent. La question oppose la vision politique américaine actuelle aux positions défendues par la communauté scientifique internationale. L’enjeu porte à la fois sur l’économie, la diplomatie et la crédibilité des instances multilatérales.
Un discours centré sur l’économie et la souveraineté
Au siège de l’ONU, Donald Trump a affirmé que le changement climatique représentait « la plus grande arnaque jamais orchestrée ». Le président américain a critiqué les mesures visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre, estimant qu’elles mettaient en péril la compétitivité économique de pays comme les États-Unis. Selon lui, les investissements massifs dans les énergies renouvelables seraient risqués et fragiliseraient les systèmes énergétiques traditionnels. Dans le même discours, il a également pointé du doigt l’Union européenne, accusée de suivre une orientation climatique qui limiterait ses perspectives industrielles.
Ces déclarations rappellent une ligne politique déjà exprimée par l’ancien magnat de l’immobilier. Lors de sa précédente présidence, il avait annoncé le retrait des États-Unis de l’Accord de Paris, avant que la décision ne soit révoquée en 2021 par son successeur. La position défendue à l’ONU prolonge cette vision, qui privilégie la souveraineté nationale sur les engagements collectifs en matière environnementale. Pour ses partisans, cette stratégie répond à des impératifs de croissance et de sécurité énergétique. Des propos similaires ont déjà alimenté le débat aux États-Unis, notamment lors de discussions sur les subventions accordées aux énergies fossiles ou aux filières renouvelables.
Les données scientifiques et les enjeux internationaux
La communauté scientifique internationale soutient à l’inverse que le changement climatique est bien réel et largement lié aux activités humaines. Les rapports du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) et des académies nationales américaines indiquent que les preuves sont au-delà de tout doute scientifique. Les principales causes identifiées concernent la combustion des énergies fossiles, la déforestation et les émissions industrielles. Ces conclusions servent de base aux engagements internationaux adoptés depuis l’Accord de Paris, qui fixe des objectifs de limitation du réchauffement global à 1,5°C ou 2°C. Plusieurs organisations mettent également en avant les coûts économiques liés aux catastrophes naturelles, incitant à comparer le prix de l’inaction avec celui de la transition énergétique.
Sur le plan diplomatique, les déclarations de Trump arrivent au moment où l’ONU continue de plaider pour des efforts collectifs. Les divergences entre les grandes puissances compliquent toutefois la mise en œuvre de stratégies communes. Pour certains pays, la lutte contre le changement climatique est aussi un levier de compétitivité, à travers le développement de nouvelles filières industrielles comme l’hydrogène ou le stockage d’énergie. Des acteurs privés cherchent également à capter des financements internationaux, un enjeu central qui alimente de nombreuses négociations bilatérales. Ces éléments pourraient faire l’objet de futurs rapports détaillant l’évolution des politiques énergétiques. Le contraste entre la position exprimée par la Maison-Blanche et les constats scientifiques souligne l’ampleur des débats qui entourent la gouvernance climatique mondiale.




Sur de longues périodes les changements climatiques ont toujours existé.
Ces tarés d’écolos en ont fait un idéologie totalement dénuée de sens.
J’espère que tu as eu la chance de lire ou voir les anneaux de Saturne. Ces anneaux ont presque disparu et la planète Saturne se trouvera sans ses anneaux. Tout cela est dû à la pollution atmosphérique, la chaleur accablante, des rivières et cours d’eaux tarissent, alors les écolos ne sont pas des tarés dénués de sens.