En Allemagne, le parti d’extrême droite “Alternative pour l’Allemagne” (AfD) est accusé d’accointance avec le Kremlin. Cette accusation a même été débattue à l’occasion d’une rencontre organisée au Bundestag par les groupes CDU/CSU et SPD. Une situation inédite, qui ne manque pas de faire jaser outre-Rhin.
Au cours de cet échange au Bundestag, de nombreuses interrogations ont été soulevées sur le rapport entre l’AfD, la défense nationale et les infrastructures militaires les plus sensibles. Selon les parlementaires, le parti d’extrême droite “espionnerait” l’armée allemande et fournirait des informations sensibles aux forces du Kremlin.
L’AfD fait face à de graves accusations
La raison ? Depuis un an, le groupe parlementaire AfD aurait adressé aux députés pas moins de 47 questions relatives à l’armée, les mesures prises pour assurer la sécurité des citoyens et autres investissements relatifs au développement des nouvelles technologies, comme les drones et la cybersécurité.
De nombreuses demandes qui ont suscité le questionnement auprès des forces politiques allemandes, pour qui cela pourrait revêtir d’une possible collecte d’informations à des fins extérieures. Or, toujours en ce sens, les responsables de la CDU et du SPD ont rappelé que certains membres de l’AfD étaient particulièrement proches des intérêts russes, avec de nombreux déplacements sur place, notamment.
Le parti, en bien mauvaise posture
Problème, certains membres de l’AfD sont effectivement dans le viseur de la justice. Par exemple, l’ancien collaborateur d’un eurodéputé AfD a récemment été condamné à cinq ans de prison pour espionnage au bénéfice de la Chine. Des faits qui ont bien mauvaise presse et qui obligent forcément le parti à devoir se justifier davantage face aux accusations dont il fait preuve.
Cette proximité serait telle que l’AfD est d’ailleurs considérée par certains élus, comme une « cellule dormante fidèle à la Russie ». Des accusations qualifiées de graves et balayées d’un revers de la main par l’AfD, qui accuse à son tour les partis traditionnels du paysage politique allemand, de « manœuvre électorale ».
Dans l’Allemangne de 1936, ne pas être antisémite était passible de prison.
Aujourd’hui, ne pas être russophobe c’est presque pareil !
Les Russes doivent regretter de ne pas avoir fait un parking de la bochie en 1945.
La Deutche démokratie qui tente de flinguer le premier parti du pays par des moyens pas très démocratiques !
Je dirait bien « sal**rie de boches » mais en France c’est encore pire
L’Allemagne déconne à donf’ … l’héritage de Merkel c’est de la m*** en tube !
La bonne nouvelle. c’est que le 4ème Reich en en slibard … plus un seul DM pour aller faire la guerre aux Russes.