Face à la guerre en Ukraine et aux ambitions persistantes de Moscou, les États‑Unis adoptent une approche plus prudente dans l’imposition de sanctions. Plutôt que de multiplier les restrictions, Washington se concentre désormais sur l’application stricte des mesures déjà en place, comme l’a récemment expliqué le secrétaire d’État Marco Rubio à l’issue de la réunion des ministres des Affaires étrangères du G7 au Canada.
Les limites actuelles des sanctions américaines contre le pétrole russe
Depuis le 22 octobre 2025, les États‑Unis ont ciblé les principaux acteurs du secteur pétrolier russe. Rosneft et Lukoil, deux des plus grandes compagnies du pays, ont été directement visées : leurs avoirs ont été gelés et toute transaction impliquant des entités américaines a été interdite. Ces sanctions ont pour objectif de limiter les revenus dont Moscou dispose pour financer ses opérations militaires en Ukraine. Leur mise en œuvre a été soigneusement coordonnée avec les alliés occidentaux afin de maximiser la pression sur le secteur énergétique russe.
Malgré ces mesures, Rubio estime que la marge de manœuvre pour imposer de nouvelles sanctions est désormais très limitée. Selon lui, les prochaines étapes doivent se concentrer sur le respect strict des restrictions existantes plutôt que sur l’élargissement du champ des sanctions. Il a aussi mis en avant le problème de la « flotte de l’ombre » que la Russie utilise pour contourner certaines restrictions, précisant que la lutte contre ce phénomène relève davantage de mécanismes d’application que de nouvelles sanctions.
L’importance de la coopération européenne et l’impasse stratégique
Le secrétaire d’État a souligné que de nombreux navires impliqués dans ces contournements opèrent à proximité des ports européens, ce qui implique que les partenaires du Vieux Continent doivent jouer un rôle plus actif pour garantir l’efficacité des sanctions. Rubio insiste sur le fait qu’une coopération renforcée avec l’Europe est cruciale pour maximiser l’impact des mesures déjà en place.
Dans le même temps, il a rappelé les ambitions militaires de la Russie en Ukraine, notamment la conquête du reste de Donetsk, un objectif qui ne sera vraisemblablement pas accepté par Kyiv. Cette réalité explique en partie la prudence américaine : il n’existe plus beaucoup de cibles majeures à frapper dans le secteur pétrolier, ce qui justifie la décision de privilégier l’application des sanctions existantes et de temporiser avant d’en envisager de nouvelles.




Zelensky ne veut pas négocier (autre chose que la capitulation de la Russie)
Du coup Trump l’a laissé tomber. Il se contente de vendre des armes en attendant que les Russes écrasent définitivement l’armée ukro.
Le travail en cours, il avance bien.
– Beaucoup de cynisme de la part de Trump.
– Le nain barbu qui se prend pour un stratège accumule les co**ries coûteuses en vies humaines et ses copains tombent pour corruption. C’est bientôt son tour, sa fin est proche et elle va être très douloureuse
– pendant ce temps les Anglais font ce qu’ils savent faire de mieux : du terrorisme et des attaques sous faux drapeau. Ces ENC** sont encore capables de faire péter une centrale nucléaire ou de mijoter n’importe que coup plus pourri que le Q de reine d’Angleterre !