Les autorités russes ont récemment affirmé qu’une attaque par drones avait visé une résidence attribuée au président Vladimir Poutine. Selon Moscou, l’incident se serait produit dans la région de Novgorod et aurait impliqué plusieurs engins aériens interceptés par la défense antiaérienne. Les autorités russes assurent qu’aucun dégât ni blessé n’ont été constatés. Ces déclarations ont rapidement suscité des réactions internationales, alors même qu’aucune confirmation indépendante n’est venue étayer la version russe des faits.
Accusations russes et démenti officiel de Kiev sur l’attaque présumée
Le gouvernement russe présente cet épisode comme une tentative d’attaque directe contre une résidence présidentielle, qualifiée par ses responsables d’acte hostile grave. Les autorités de Kiev ont rejeté ces accusations. Le président Volodymyr Zelensky et le ministère ukrainien des Affaires étrangères ont affirmé que l’Ukraine n’était pas impliquée et ont décrit les déclarations russes comme infondées. Kiev soutient que ces accusations ne reposent sur aucun élément vérifiable et qu’aucune preuve n’a été rendue publique pour confirmer l’existence ou la cible exacte de l’attaque évoquée.
Les responsables ukrainiens insistent sur le fait que l’Ukraine concentre ses actions sur des objectifs militaires liés à la guerre en Ukraine et non sur des résidences personnelles de dirigeants. À ce stade, aucune enquête indépendante n’a permis de corroborer l’une ou l’autre des versions avancées.
Réaction de Donald Trump face à l’incident évoqué en Russie
La situation a également provoqué une réaction du président américain Donald Trump. Celui-ci a déclaré publiquement avoir accueilli ces informations avec colère, estimant qu’une attaque visant la résidence d’un chef d’État serait inacceptable, en particulier à un moment où des discussions diplomatiques sont évoquées par plusieurs acteurs internationaux. Donald Trump a indiqué vouloir disposer d’éléments clairs avant de se prononcer davantage, soulignant la nécessité de vérifier les faits rapportés.
Cette prise de position marque une distinction entre les opérations militaires liées au conflit et une attaque ciblant directement un dirigeant. Elle intervient alors que les versions russes et ukrainiennes restent contradictoires et que les faits rapportés ne sont pas confirmés par des sources indépendantes.




Le nain vert voulait faire capoter les négos et on peut dire qu’il a mis le paquet.
Il y a moins d’une semaine le nabot voulait que Poutine « périsse ». On peut dire qu’il a de la suite dans les idées. Des idées plutôt fumeuses ! Quel débile tente ce genre de truc. Et, s’il le tente, il a pas intérêt à se louper.
Vraiment des pieds nickelés. Au pluriel parce qu’il faut des satellites pour guider ces 91 drones. Et l’Ukraine n’en a pas !
Cherchez le complice, somewhere in London, maybe