Nadiya Sabeh est restée, jusqu’à son dernier souffle, une figure de courage face à la maladie. Emportée par un cancer contre lequel elle s’est battue avec dignité et détermination, la jeune femme avait suscité une profonde empathie au sein de l’opinion. Son combat, suivi par de nombreux proches et anonymes, avait fait d’elle un symbole de résilience, bien au-delà de sa sphère familiale.
Décédée le 3 décembre, Nadiya Sabeh a été inhumée le samedi 13 décembre au cimetière municipal de Williamsville, à Abidjan. Sa tombe, devenue un lieu de recueillement et de respect, devait incarner le repos éternel après une lutte éprouvante contre la maladie. Mais ce moment de paix n’aura duré que quelques heures.
Une profanation survenue quelques heures après l’inhumation
Dès le lendemain de l’enterrement, la tombe de Nadiya Sabeh a été profanée. Un acte d’une violence symbolique rare, qui a choqué aussi bien la famille que l’opinion publique. La rapidité avec laquelle la sépulture a été violée — à peine 24 heures après l’inhumation — a renforcé l’émotion et l’indignation, tant l’acte apparaissait profondément irrespectueux.
Alertées, les autorités se sont rapidement saisies du dossier. Une enquête a été ouverte, conduisant à l’interpellation d’un prévenu poursuivi pour profanation de sépulture. L’affaire, largement commentée, a soulevé de nombreuses interrogations sur le respect des morts et la protection des lieux de recueillement.
Un verdict judiciaire pour marquer les limites
À l’issue de la procédure judiciaire, le tribunal a rendu son verdict : le prévenu a été condamné à un an de prison ferme précise Koaci. Une peine qui reflète la gravité des faits et la volonté de la justice de marquer les limites face à des actes portant atteinte à la dignité humaine.
Fait notable dans ce dossier, la partie civile n’a formulé aucune demande de réparation financière. Ce choix, relevé au cours de l’audience, n’a toutefois pas empêché la juridiction de prononcer une peine ferme, soulignant ainsi que la sanction répond avant tout à la nécessité de protéger l’ordre public et le respect dû aux morts.
Me Jacques Vergès……Le prévenu qui se faisait passer pour un juriste, et appelé Me Jacques Vergès en réalité un plombier vivant en France ) a été condamné à un an de prison ferme précise Koaci. Il serait arrivé pour continuer sur Cotonouu pour les voduns days très prochains de Janvier 2026. Il va y présenter un vodoun dont il serait le créateur et appelé vodun kpayah kpayah😂🤣😅 …héééé Me Jacques Vèrgès tu réveillonnes bien!
Ah bon !!!Me Jacques Vergès…après avoir « purugé » ta peine de prison au PPA, il y a Aziz qui veut d’embaucher pour assurer le gardiennage de brebis avec dermatose nodulaire (dnc) golo golo 😂🤣😅
Me Jacques Vergès …A mon avis , c’est juste pour votre réinsertion sociale… j’ai aussi un poste disponible dans un an, à votre fin de peine pour un apprenti gbaka d’adjamé 🤣😅…mais avec ton gros ventre lààààà!🤣😅😂!