Il y a quelques instants, le président Russe, Vladimir Poutine, organisait sa conférence de presse annuelle. Pour l’occasion, le chef de l’État a accepté de revenir sur la question de “l’opération spéciale” qu’il mène en Ukraine, expliquant qu’il était finalement très simple à ses yeux, d’éviter tout nouveau débordement.
Au cours des on entretien, seul face à deux journaliste, le président Poutine a affirmé qu’il ne recherchait qu’une seule chose pour la Russie : le respect. Il a ainsi affirmé que si les demandes, propositions et positions russes étaient prises au sérieux, alors Moscou n’avait aucun intérêt à chercher le conflit avec quiconque.
La Russie appelle à plus de respect
Pour justifier cette position, il a repris l’exemple de l’Ukraine, expliquant que la Russie avait été dupée par les Occidentaux. Selon lui, la promesse de ne pas élargir le territoire de l’OTAN vers l’Est n’a pas été respectée. L’idée selon laquelle l’Ukraine était sur le point d’y entrer a ainsi suffit pour justifier de ce conflit.
Il a aussi appelé à ce que l’Union européenne opte pour le chemin de la déséscalade, assurant que Moscou n’a absolument aucune envie ou ambition de s’en prendre à l’Union européenne et notamment les pays Baltes, qui sont souvent cités comme étant ceux qui se trouvent en première ligne.
L’Union européenne chercherait à masquer ses vrais problèmes en pointant Moscou du doigt
Il appelle ainsi au respect de la volonté de sécurité exprimée par la Russie, ajoutant que ces sorties répétées opérées par les gouvernements européens n’ont pour que simple objectif, celui de détourner l’attention des populations des réels problèmes économiques, sociaux et politiques, qui secouent le continent. Les questions autour du Mercosur, de l’immigration ou de l’imposition et du développement économique ou la charge administrative, sont notamment au coeurs des discussions et ce, depuis plusieurs mois maintenant.




Suffit de lire tous les commentaires russophobes pour comprendre qu’il a raison.
Les Russes sont considérés comme des sous-hommes par les occidentaux, en particulier par les allemands qui parquaient les prisonniers russes dans des enclos spéciaux pendant la petite dernière mondiale. TOUS ces prisonniers sont morts de froid et de faim.
Les Russes ont de la mémoire. Si ce crétin de Merz persiste à vouloir y aller « comme en 41 », la réponse va être d’une brutalité inouïe.