Le Sénégal franchit une étape diplomatique majeure avec l’attribution de la présidence de la Commission de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest pour la période 2026-2030. Cette désignation, saluée par les autorités sénégalaises, est perçue comme un signal de confiance des États membres envers Dakar, appelé à jouer un rôle central dans l’orientation des politiques régionales au cours des prochaines années.
Une confiance régionale confirmée
À l’annonce de cette nomination, les autorités sénégalaises ont exprimé leur reconnaissance envers les chefs d’État et de gouvernement de la sous-région. Cette responsabilité engage le pays à travailler étroitement avec l’ensemble des États membres afin de renforcer la cohésion de l’organisation et d’accompagner les priorités communes. La Commission de la CEDEAO, organe exécutif de l’institution, est chargée de concevoir et de mettre en œuvre les politiques régionales dans des domaines clés tels que l’économie, la sécurité, la libre circulation, les infrastructures, l’énergie et la gouvernance.
Cette prise de fonction intervient à un moment où la CEDEAO fait face à des défis importants, notamment les transitions politiques, les questions sécuritaires et les enjeux migratoires. La présidence confiée au Sénégal devra ainsi composer avec des attentes élevées en matière de coordination et de dialogue entre les États membres.
Rôle stratégique de la Commission de la CEDEAO
La désignation du Sénégal est également analysée comme le résultat d’une orientation diplomatique assumée par les nouvelles autorités. Plusieurs observateurs soulignent le choix de confier la conduite de la diplomatie à des professionnels du secteur, une option qui aurait facilité les échanges et renforcé la crédibilité du pays auprès de ses partenaires régionaux. Le travail mené par le ministère des Affaires étrangères est cité comme un facteur déterminant dans l’obtention de ce poste stratégique.
En prenant la tête de la Commission pour le prochain mandat, le Sénégal sera attendu sur sa capacité à impulser des actions concrètes en faveur de la stabilité et du développement régional. La mission consistera notamment à traduire les orientations politiques des chefs d’État en programmes opérationnels, tout en maintenant un équilibre entre les intérêts nationaux et les objectifs collectifs.
Cette nouvelle responsabilité place Dakar au cœur du dispositif institutionnel ouest-africain. Elle ouvre une séquence où le Sénégal devra conjuguer leadership, concertation et efficacité, dans un environnement régional marqué par des enjeux complexes et des attentes fortes des populations.




La CEDEAO est en voie de disparaître. Quel mal le Sénégal veut se faire par-là en acceptant de présider la commission d’une CEDEAO qui va bientôt mourir ? La CEDEAO qui s’est déroutée de la mission des pères fondateurs pour devenir un instrument des puissances étrangères qui l’emploient à bombarder sur les populations des pays membres n’est plus à supporter. Cela ne pourrait pas être autrement, car la CEDEAO est alimentée, financée et armée par l’Union Européenne qui a un bureau au siège de la CEDEAO à Abuja. Ainsi la CEDEAO n’est pas au service des peuples Africains mais plutôt au service des puissances étrangères pour lesquelles elle entretient le syndicat des chefs d’État de la FranceAfrique. Un à un les États africains vont l’abandonner comme c’est déjà le cas des États de la Confédération du Sahel.
In fine la CEDEAO demeurera sa propre vide coquille. Qui l’aurait cru, que les États Africains après avoir pris leur indépendance après un siècle de colonisation, se retrouveraient encore sous tutelle d’une organisation régionale au service des colonisateurs qui continuent de leur dicter la ligne à suivre, bafouant ainsi leur souveraineté chèrement acquise. Oui les peuples d’Afrique ont vomi la CEDEAO dont ils ne veulent plus rien écouter.
Notre pépé dingo_dingo est enfin réveillé, il lui faut montrer sa fainéantise mentale..il se connait rien des règles institutionnelles régionales….petit dictateur…