Paris: YAYI BONI perd une deuxième fois devant ILLASSA

Selon les termes de cette décision, la présidente, Mme Anne Marie SAUTERAUD dans son ordonnance, donne acte à Benoît ILLASSA de ce qu'il a SUPPRIME de son blog les propos poursuivis comme diffamatoires…
dit n'y avoir pas lieu à application de l'article 700 du NCPC, chaque partie supportera ses dépens…

ILLASSA BENOÎT est donc RELAXÉ : aucune charge réelle contre lui.
Qui plus est, les conclusions produites le jour même du REFERE par les avocats du président de la république ont été écartées, étant considérées comme de nouvelles demandes.
Les initiés savent de quoi il est question lorsqu’il y a de telles maladresses et voient déjà le camouflet, dans une citation qui manque de préparation et de pertinence, de la part de nos conseillers en petit juridisme, auprès du Président.
A cette allure, il est à craindre, si aucun autre élément sérieux de preuve, d’un côté comme de l’autre, ne vient s’introduire dans le débat, prévu pour durer trois (3) heures d’horloge, le 1er mars prochain, que la cause soit déjà entendue ; les juges du fond ne pouvant naturellement que suivre les 1ers juges.
Pour une fois, c’est la vraie justice qui serait passée.
La justice à laquelle devraient être soumis les petits, les grands, les puissants et les forts de ce monde.
La justice qui n’a pas épargné les Chirac, Dray, De Villepin et qui rattrapera probablement Eric Woerth, ministre français du travail qui n’a déjà plus rien d’un homme honnête au dessus de tout soupçon, qu’un pouvoir désorienté tente encore vainement de rattraper.
Vous savez quoi ?
C’est à croire qu’ils sont au courant de tout ce qui se passe chez nous. Ils ont jugé, sans état d’âme.
Les chefs d’Etat africains étaient inattaquables devant les juridictions françaises : Raisons : Paradis fiscal ou asile politique pour ces messieurs, pour leurs bons et loyaux services à la françafrique.
Les juges français qui eux n’appartiennent ni à la gauche ni à la droite disent toujours le droit ; ce qui peut amener à des surprises de taille, même en la présence d’un parquet aux ordres, pour ces hommes habitués à gagner, lorsque c’est l’honorable plaignant, lui-même qui s’offre en pâture à l’opinion, sans aucune preuve construite, dans un climat des affaires aussi scabreux et aussi délétère que celui de mon pays, actuellement.
 
Ce n'est que justice, une première fois,
 
Christian Désiré HOUSSOU

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