Ce serait vérité de La Palisse d’écrire que nous suivons de près, tous les jours, les débats riches et variés que suscitent sur le site de votre quotidien préféré, «La Nouvelle Tribune», les articles mis en ligne à votre intention. C’est le lieu de vous féliciter et remercier pour vos importantes contributions à l’éclosion des idées mues –nous l’espérons- vers un développement plus harmonieux de notre pays, pour autant que nos leaders et décideurs à des niveaux quelconque de responsabilité de notre État et, au-delà, ceux du continent africain, d’une manière générale, veuillent courageusement s’en saisir pour mieux donner corps aux désidératas des populations dont vous êtes les porte-voix, au sens large.
Le feedback constructif que constituent vos interventions serait autrement plus valorisant pour nos mises en ligne, que la rédaction du journal a jugé utile d’en répercuter, les plus pertinentes sur nos compatriotes lecteurs de la version papier. Nous y avons donc initié, il y a déjà un mois, une nouvelle rubrique intitulée: «Ça crépite@ – www.lanouvelletribune.info», en saisissant l’occasion du débat relatif à la décision DCC 11-042 de la Cour constitutionnelle du Bénin déclarant discriminatoire le décret du chef de l’État revalorisant le point indiciaire des traitements des travailleurs béninois du secteur des finances.
Parmi les articles plus récemment mis en ligne, qui cartonnent de vos débats, lesquels devraient figurer en bonne place au hit-parade des interventions à sélectionner pour la nouvelle rubrique, dès notre retour du long weekend -chômé et payé, dû à la célébration de la fête du 1er aout- celui relatif à la récente étude de l’Ireep (l’institut de recherche empirique en économie politique) a retenu notre attention. Et comme si nous avions anticipé vos réactions, nous sommes allés (Vincent Foly, le Directeur de la publication et moi) à la rencontre, vendredi dernier, du directeur de l’Institut, le professeur Léonard Wantchékon, à son domicile sis à Abomey-Calavi, quartier Zopa. Pour une interview en règle et sans concession. Vous pouvez être rassurés. A l’occasion, vos préoccupations ont été prises en compte. Exactement comme vous les exprimez sur le forum en ce moment. Les réponses qu’elles ont appelées sont aussi sans fards. Suffisent-elles à dissiper vos préoccupations ou au contraire vont-elles les renforcer? C’est selon… De toute façon, l’interview en est à l’étape de transcription et passera, d’ici demain, celle du traitement. Le mercredi prochain, jour de la reprise de nos activités, elle serait déjà apprêtée pour vous. En attendant… bon appétit et merci de poursuivre le débat.
Emmanuel S. Tachin, le directeur de la rédaction
Laisser un commentaire