Un appel à une prise de conscience pour sauver l’humanité

Le Bénin, à l’instar de tous les pays du monde, a accueilli, dans la soirée du dimanche 22 avril 2012, le lancement officiel du film «One day one earth» (Une journée sur terre). C’était au théâtre de verdure de L’espace Tchif de Cotonou sous le parrainage du Programme des Nations-Unies pour le développement (Pnud).

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Le soir du dimanche 22 avril 2012 à l’Espace Tchif de Cotonou. Des éclatements de joie par moment. Mais très tôt, ils cèdent la place aux sentiments de tristesse ou du moins une prise de conscience de la part de tous. C’est l’effet immédiat des images qui défilent à l’écran ce soir. Le film «One day one earth» (Une journée sur terre) lancé ce jour de célébration de la journée mondiale de la terre interpelle tout le monde notamment l’Afrique.

«One day one earth» est un film documentaire réalisé dans le cadre d’un projet dirigé par le fondateur/directeur Kyle Ruddick et Cofondateur/producteur Brandon Litman avec l’aide de l’organisation des Nations Unies et la communauté internationale des cinéastes. La cérémonie de lancement au Bénin s’est déroulée sous le parrainage du Programme des Nations-Unies pour le développement (Pnud).

C’est la première partie d’un compte rendu de 3000 heures d’images filmées dans 70 langues par près de 20.000 réalisateurs des quatre coins de la planète. Des vidéos instantanées d’innombrables récits de réussites, de tragédies, d’espoirs et de craintes vécus tous les jours. Ceci, le même jour. Le 10 octobre 2010 (10-10-10). «One day one earth» est une tranche de vie de 24 heures de notre monde, affirme Mathieu Ciowela, Représentant résident adjoint du Pnud.
Outre les quelques images positives, ce long métrage de 120 minutes montre un monde où plusieurs peuples ont connu ce 10-10-10 des moments de chagrins. 154.000 morts, des difficultés d’accès à l’eau potable, la misère des peuples dans tous les secteurs tels l’éducation, la santé, etc. C’est une journée sur la terre mais plusieurs jours dans les familles, estime Gustave Assa, président de Social Watch.

Le parrainage du Pnud est un acte destiné à inviter tous les peuples à de profondes réflexions pour sauver l’humanité et assurer un avenir meilleur aux futures générations, à en croire Mathieu Ciowela. Des réflexions non seulement pour savoir quels sont les problèmes, dont les menaces environnementales, auxquels l’humanité fait face mais aussi pour chercher comment chacun des hommes devra contribuer à les résoudre.

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