Dans la vie, vous pouvez soit baisser les bras en face de l’Adversité, soit laisser le Malheur vous rendre Meilleur

La Question Cardinale au centre de toute Vie, est et demeurera toujours celle de notre Réussite. Or, que nous le voulions ou pas, certaines Forces «essayeront de nous dérouter», nous sortir de notre Chemin déjà tout tracé, et aplani par nous, afin de «nous mener à l’Echec» !

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Cela s’appelle l’Adversité… Et comme nous l’avons dit dans nos développements antérieurs, elle est inévitable. Car, tant que vous agirez, et vous allez devoir «Agir pour faire Changer les choses», il y aura toujours des gens qui vont «vous mettre les Bâtons dans les Roues», «essayer de vous faire Tomber» ou «simplement vous Détruire», par l’usage abusif de leur Force… Ainsi, la Pensée de ce Jour, qui nous rassemble par un Heureux Hasard, nous exhorte à sortir de cette Adversité ambiante, à «S’Elever au-dessus» et à plutôt «Tirer Bénéfice de ce que la Vie nous offre», y compris cette Adversité, afin de la transformer en Energie productrice, en Motivation supplémentaire de Réussir, en réussissant à «Contrôler la Force, ainsi que nous-mêmes», et à la mettre au service de notre Réussite, par la manifestation de notre Bienveillance, de notre Bonté, et de notre Amour de la Beauté/Lumière (3 «B» = Bonté+Bienveillance+Beauté/Symétrie)… Avec deux (2) Clés que sont l’EMPATHIE et l’ASSERTIVITE…

Défaitiste ou Victorieux?!

Sommes-nous «Défaitistes», plutôt enclins à «Baisser les Bras», face à la moindre difficulté, ou voulons-nous être des «Gagnants/Victorieux» ? La Bonne Réponse est : Ni l’un, ni l’autre, et nous l’allons développer…

Car, tout ce que l’on gagne ici, est une Perte, là : Ne dit-on pas, à juste titre, en Comptabilité à Partie-Double, qu’il faille faire le «Bilan de ses Pertes et Profits» ?! Parce que tout n’est que Pertes et Profits, ici ou là…

Alors, la Meilleure Alternative consistera à être au Juste Milieu des deux Options, la Perte (pour avoir baisser les bras) ou la Victoire (pour avoir couru derrière elle) : Un Equilibre qui nous permet de «Réussir tout ce que nous Entreprenons», sans crainte de l’Adversité, sans s’en préoccuper.

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La Réussite, entre l’Echec et la Victoire… Les Trois (03) Mystères de la Vie !

Nous devons, avant toute chose, nous convaincre du fait que : «Nulle part il n’existe d’Echec…» Ce n’est qu’une résultante de nos Appréciations Divergentes ou Convergentes, selon les Dimensions,  l’Espace, et les Moments, le Temps de chaque Action, ainsi que ceux (Temps et Espace) de notre Appréciation, avec un laps de Temps plus ou moins long entre les deux actes : Agir, puis Apprécier, pour Savoir si on a Réussi ou pas.

Alors, si l’Echec, selon ce que nous venons d’affirmer, à la suite de Rudyard Kipling, n’existe point, de quoi avons-nous Peur ? Qu’attendons-nous pour Agir ? Qu’est-ce qui nous retient ? La Réponse est simple : L’ADVERSITE… ou la Peur de l’Autre.

Et un «Conseil de Sagesse Pratique», plutôt une «Leçon de Vie» : Commençons par «Avoir Peur de Nous-mêmes», car l’Adversaire ne nous connaîtra jamais aussi bien que nous-mêmes, pour arriver à nous Détruire, ce qui est l’Echec Suprême, le Seul que nous reconnaissons, le Seul devant qui nous pouvons avoir Peur, ou nous incliner… LA MORT… (Notons bien le Féminin) !

Se Maîtriser d’abord, pour Surmonter l’Adversité!

Alors, si cette «Possible/Probable Destruction», ne peut être à l’ordre du jour que par notre propre Fait, par nos propres Agissements, alors c’est de nous-mêmes que nous devons avoir le plus Peur, et «Agir pour nous Contrôler à tout moment», après nous être entraînés, pendant un temps relativement long (plus ou moins, selon chacun), pour que ce Contrôle s’instaure dans nos plus petits Réflexes, dans nos Automatismes les plus instantanés… Et s’impose donc aux Autres…

Car Echec et Victoire ne sont que deux «fieffés menteurs», deux faces d’une même Médaille, dont nous avons besoin, toutes les deux, pour Avancer en Agissant pour Changer les choses. Car c’est ce Changement qui fait notre Réussite : Donc, ce n’est point l’Echec, ni la Victoire, qui doivent nous guider, mais la Réussite…

Sur nous-mêmes pour commencer, avec un impact très souhaité et chaleureusement recommandé, sur Autrui. En restant dans la Dynamique de «Conduire» plusieurs (à partir de deux déjà), par le jeu des Interactions et de «l’Interdépendance Globale». Parce que «notre Réussite influe et influera certainement sur le Sort de ce Plusieurs, d’où une Atténuation de leur Opposition/Adversité…

Une Adversité qui fait notre Malheur, mais Nous Rend Meilleur !

Puisque, l’Adversité est innée, donc, il s’agira plutôt de Pouvoir en tirer Bénéfice (et non Profit), en transformant le Malheur en Bienveillance, par l’Action Positive de notre Bonté ! En retenant bien ceci :

«Celui qui Agit, a toujours contre lui trois catégories d’adversaires : Ceux qui font la même chose que lui (ayant peur qu’il le fasse mieux et les dépasse) ; ceux qui font le contraire (craignant que son produit annule l’opposé qu’ils proposent) ; et ceux qui ne font rien du tout (par peur du Mouvement, du Changement) !»

La Leçon à tirer de cette Vérité, est de comprendre que, dans la Vie, pour Réussir, Véritablement et Durablement, «il faut se Dépasser… Tout en s’élevant au-dessus des Autres et de leur Adversité… En allant plus vite que leurs attaques, comme ce légendaire Cow-boy qui tire plus vite que son Ombre… (Un grand Chanceux, comme son nom l’indique) !»

Et pour être Meilleur, il faut avoir été «Médiocre», du moins en Apparence… Avec une certaine Incrémentation dans le Temps : «Médiocre dans le Passé, Meilleur dans le Présent, PARFAIT dans le Futur… Qui reste une Quête Perpétuelle !» Et cela ne peut être POSSIBLE que si «l’on nous a Poussé… Et nous Réussissons désormais à Eviter toute Chute», «l’on nous a Pourchassé et nous sommes plus Rapide», «l’on nous a Tué (au moins symboliquement) et nous avons vaincu la Destruction» !

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