• À propos
  • Contactez-nous
  • Charte du site
  • Archives
samedi, mars 6, 2021
samedi, mars 6, 2021
Connexion
Menu
La Nouvelle Tribune
Pas de résultat
Voir tous les résultats
La Nouvelle Tribune
Pas de résultat
Voir tous les résultats
La Nouvelle Tribune
Accueil Politique

Irak : nomination d’un nouveau Premier ministre contesté par le sortant

Par Franck Dossi
il y a 7 ans
(Tout le monde en parle)
Commenter
FacebookTwitter

A lire

Violences au Sénégal : Sadio Mané sort du silence

Photo Unsplash

Attaquée à l’acide pour avoir refusé un mariage, elle épouse un homme rencontré à l’hôpital

Voir plus d'articles

Haïdar al-Abadi. C’est le nom du nouveau Premier ministre irakien. Vice-président de l’Assemblée nationale, l’homme a été désigné hier lundi 11 août 2014 par l’Alliance nationale, principale bloc chiite au Parlement, avec la bénédiction du président Fouad Massoum. 

À lire aussi
  • Irak : Erdogan accuse les USA après la mort de 13 turcs
  • Mars : une photo panoramique capturée par Perseverance divulguée par la NASA
  • Bénin : Le député Tidjani Affo Obo conteste l’authenticité de son parrainage devant la Cour…

Il a aussitôt reçu le soutien des Etats-Unis d’Amérique, mais pas celui de son désormais prédécesseur Nouri al-Maliki. Le Premier ministre sortant qui ambitionnait un troisième mandat estime que la Constitution a été violée dans la procédure de désignation de Haïdar al-Abadi. « Nous assurons à tous les Irakiens et à tous les partis politiques que cette nomination n’a aucune importance parce qu’elle a été faite en dehors des procédures constitutionnelles. La résolution de la Cour fédérale a été claire. Nous n’acceptons pas cette violation de Constitution(…) », a réagi Nouri al-Maliki cité par Rfi.  L’homme persévère donc dans le bras de fer qu’il a engagé avec le président Fouad Massoum, ses opposants et ex-partisans et les Etats-Unis.

Pour rappel, Nouri al-Maliki est accusé d’avoir instauré dans le pays une politique autoritaire sur fond de division confessionnelle. Cela est vu comme l’une des causes majeures de l’insurrection des djihadistes de l’Etat islamique qui contrôlent plusieurs régions du nord de l’Irak. L’une des solutions à cette équation irakienne est donc le remplacement de Nouri al-Maliki par une autre personnalité qui ferait le consensus. Ce dont al-Maliki, dont la coalition est arrivée en tête des Législatives d’avril, ne veut pas attendre parler. Il a saisi la Cour fédérale qui lui a donné raison. N’empêche, il est aujourd’hui lâché par certains de ses ex-alliés chiites et les Etats-Unis. Washington l’a d’ailleurs mis en garde. « Sincèrement, je ne connais pas cette personne : ni son parcours, ni son caractère, ni sa méthode. Mais j’espère qu’il pourra régler nos problèmes de façon pacifique pour permettre à tous les peuples et les minorités de coexister », a déclaré le président Fouad à propos du tout nouveau Premier ministre.

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.

Dernier commentaire

  • Johan dans Affaire Reckya Madougou : les dernières accusations de Modeste Kerekou
Facebook Twitter Instagram RSS
Google News

Cliquez ici pour nous suivre sur Google News. Recevez des notifications depuis votre application de Google sur téléphone, ou des infos de dernière minute sur votre ordinateur.

A ne pas rater

A la une

Soutien à Sarkozy : Darmanin critiqué par un collègue

Liens utiles

  • À propos
  • Contactez-nous
  • Charte du site
  • Archives

© 2019 La Nouvelle Tribune

Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • A la une
  • Bénin
  • Politique
    • Conseil des ministres
  • Société
    • Education
    • Culture
    • Communiqué
  • Economie
  • Les grandes Interviews
  • Santé
  • Bien-être
  • Insolite
  • Sport
  • Science & Tech
  • People
  • Opinion
  • Proverbes

© 2019 La Nouvelle Tribune