Le Bénin en passe de perdre un financement de 5 milliards

Le gouvernement s’apprête à faire perdre un financement de 5 milliards pour le Bénin. Depuis des mois, Prooftag Sas- une filiale du groupe Novatec Sa de France – est disposée à injecter près de 5 milliards de francs CFA pour la sécurisation au moyen de  la solution optique de tous les actes et titres de propriété immobiliers. Mais le seul hic, le gouvernement qui doit prendre un décret pour sécuriser ce financement traîne les pas pour le faire. 

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Il est bien paradoxal l’attitude du gouvernement dans cette affaire. D’habitude toujours pressé et actif pour la mobilisation du financement, le gouvernement traîne les pas pour rassurer  le partenaire technique Prooftag Sas. Et pourtant, le 15 avril, si rien n’est fait, le Bénin devrait perdre ce financement au profit de la Côte d’Ivoire où Prooftag a aussi ses activités. Ainsi partiront en fumée la bagatelle de 5 milliards, 1000 emplois potentiels et le poste de Directeur Afrique de Prooftag pour lequel l’expert béninois Jacques Philippe Gouthon travaille depuis des années. Pour sauver les meubles et sauvegarder ce financement, le gouvernement est invité à prendre un décret portant sécurisation et authentification au moyen de la technologie code à bulles avant le 15 avril. Ce fonds destiné au déploiement dans les administrations d’une solution unique, originale et rare de sécurisation au moyen de la technologie code à bulles de Prooftag Sas  des actes  et titres administratifs et institutionnels objet de falsification et de contrefaçon à l’ère de la sophistication  des moyens informatiques. C’est pourquoi, on ne comprend pas la lenteur du gouvernement dans la prise de cet acte important d’autant plus que ce projet permet de régler de façon définitive le  problème de la sécurisation formelle des actes et titres réellement délivrés au Bénin, leur conservation pérenne, la protection de leur intégrité informationnelle, leur traçabilité et la vérification de leur authenticité en temps réel, 24/24h et à partir de n’importe quel point du monde grâce à un simple appareil Gsm ou un ordinateur connecté à la toute première plateforme sécurisée de vérification des documents  dans l’histoire du Bénin: www.obac.bj ou www.documentsofficiels.bj       

Vivement le décret sauveur

Alors que le gouvernement s’illustre dans les emprunts obligataires pour faire face à sa politique de transparence, de bonne gouvernance et de développement, il est difficile de comprendre que dans un système comme tel, le Bénin veut perdre un fonds de 5 milliards de fcfa destiné à juguler l’épineuse question de lutte contre les fraudes documentaires sous toutes leurs formes. En effet, Prooftag Sas, filiale du groupe Novatec Sa de France est disposée à injecter près de 5 milliards de francs CFA pour la sécurisation au moyen de  la solution optique la plus avancée au monde, de tous les actes et titres de propriété immobilière sans exception, les titres de transport et les actes de cession des véhicules, les pièces constitutives des dossiers d’obtention des titres de voyage, des cartes d’identité, les titres de Transport, les cartes d’identité, les décisions de justice, les certificats de nationalité, les diplômes académiques, les quittances douanières, les cartes professionnelles de force de sécurité… etc. Et ce, sans menacer les contrats de production des passeports et de cartes nationales d’identité, de permis de conduire, des certificats d’immatriculation en cours de validité. Une correspondance  a été envoyée au président Boni Yayi pour expliquer la situation, quoi faire pour sortir de l’impasse et lui présenter une mission de Prooftag Sas qui souhaite le rencontrer et lui faire part d’autres projets porteurs d’emplois.  Ainsi tous les regards sont tournés vers le gouvernement. A noter à titre informatif qu’en matière de fraudes documentaires, cette technologie  a fait ses preuves au Bénin via le ministère de l’Expert Jacques  Philippe Gouthon qui a déployé avec l’appui technique et financier de Prooftag Sas de France,  la solution code à bulles aux fins de sécurisation formelle et de l’authentification forte de l’entièreté  des actes et titres de propriété immobilière délivrés par les mairies de : Cotonou, Abomey-Calavi, de Seme-Podji, Porto-Novo, Akpro-Missérété, Sakété, Ifangni mais aussi des documents sensibles de  la Bgfibank et du  Fonaga. 

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