Une étude en ligne remet en cause les jeux en ligne

C’est un fait! Les jeux en ligne gagnent en popularité partout dans le monde depuis quelques années. C’est donc dans la logique de vérifier l’impact de ces nouvelles habitudes sur la population et les potentiels clients qu’une étude a été menée au Canada.

Publicité

Les conclusions ne sont pas très rassurantes et nécessitent selon les experts un suivi et une réglementation par les autorités en charge du secteur.

Et pour cause, un petit tour sur le site FeedBack Comparateur de Casinos en ligne pour avoir une liste exhaustive des services de casino en ligne. Le moins qu’on puisse dire est que le domaine ne manque pas d’activités; (feedback.casino est un comparateur de casinos en ligne et terrestre). Les premiers problèmes cités par les experts dans l’étude sont liés à l’anxiété, au manque de sommeil de productivité et rencontre de nombreuses difficultés financières, notamment quant il s’agit de payer leurs factures.

En somme les jeux en ligne peuvent accentuer des problèmes déjà rencontrés chez des joueurs de casinos classiques, parce qu’ils sont plus accessibles, étant à portée d’ordinateur. Rappelons que les jeux en ligne ont explosé un peu partout dans le monde, depuis les Etats-Unis, à la Chine en passant par l’Allemagne en Europe. De plus en plus de personnes s’adonnent à ces nouveaux jeux plus accessibles. Cette augmentation, il faut le dire se fait au détriment des jeux de Casinos classiques. Pour arriver à ces résultats, les chercheurs ont réuni trois catégories de personnes : ceux qui jouent en ligne, ceux qui jouent hors ligne, mais également ceux qui jouent à la fois en ligne et hors ligne. Ceux qui jouaient à la fois en ligne et hors ligne subissaient les impacts les plus négatifs, parce que cumulant ceux des deux autres catégories.

Mais du côté de Loto-Québec, on ne s’alarme pas de cette étude. Les responsables rappellent que l’entreprise avait déjà mis en jeu une charte et des mesures permettant de responsabiliser les joueurs. Chose que réclament les chercheurs impliqués dans cette étude. Un système également mis en place dans la plupart des pays européens.

Publicité

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Publicité