La récente rencontre à Addis-Abeba des Chefs d'État africains lors du sommet de l'Union africaine n'a pas été uniquement centrée sur le choix des nouveaux dirigeants de l'institution.
Une fois encore la Cour pénale internationale a été au centre de toutes les attentions. À plusieurs reprises certains chefs d'État africains avaient vivement critiqué la cour accusée de ne juger que des africains. Il y a quelques mois plusieurs pays ont annoncé leur départ : le Burundi, l'Afrique du Sud et la Gambie.
Hier à huit clos s'est tenue une réunion sur les possibilités de retrait collectif des pays africains de la CPI. Il ressort de cette réunion, l'adoption d'une stratégie non contraignante sur le plan juridique de retrait des pays africains de la CPI.
Une nouvelle pression exercée donc sur l'instance internationale qui doit faire face désormais à un sérieux défi d'existence si les pays africains se retiraient effectivement de la cour.
L'UA à souhaité renforcer la cour africaine de justice pour palier au manque d'instance judiciaire sur le plan continental.
Pour le moment aucune information n'a été communiquée sur la stratégie finale adoptée.
Pas de la panique tous les pays Africains doivent se retirer de la CPI pour qu’il y ait la liberté, la vrai justice .
bien dit Mr Tchite.Je suis en phase avec vous.C’est pour la toute première fois que je lis un commentaire qui me convient parfaitement. Merci.
Les pays africains doivent se retirer de ce machin de CPI. Le Rwanda, l’Afrique du Sud et la Gambie ont montré le chemin. Qu’attendent les autres pays? A t-on besoin de faire des palabres pour prendre une telle décision qui va de soi?…
Il faut déjà s’entendre à éteindre les feux à la maison et le reste ira, car comme je le dis souvent, « le premier ennemi de l’Homme Africain, c’est lui même. Les autres ne font que profiter de ses faiblesse, sa naïveté, son laissez-faire et surtout son manque d’organisation et de perspective collective d’avenir pour nos élites et les leurs ».
On se réveille peu à peu.