La cour suprême maintient le maire Sévérin Adjovi dans son fauteuil. Le recours formulé par 3 conseillers après le scrutin de 2015 n’a pas été fructueux. Deux ans après, la Cour suprême a rendu son verdict ce jeudi 23 février 2017.
Enième débâcle pour Célestine Adjanohoun et compagnie a-t-on envie de dire à la suite de cette décision de la Cour suprême, la plus haute juridiction de l’État du Bénin compétente en ce qui concerne le contentieux des élections locales.
Les trois conseillers frondeurs ont été déboutés pour des raisons d’insuffisances dans la formulation du recours selon la Cour. Cette décision rendue par la haute juridiction n’est susceptible d’aucun recours.
Ne voulant pas s’avouer vaincus, des conseillers frondeurs estiment que le contentieux électoral est bien différent de la procédure de destitution, qu’ils ont enclenché récemment. Mais ils ne changeront pas de position tant que leur objectif ne sera pas atteint : celui de la destitution du maire Sévérin Adjovi…