Le procès de Gilbert Diendéré et de ses coaccusés s’ouvre sauf changement de dernière minute ce mardi. Ainsi en a décidé la justice burkinabè pour connaître les tenants et les aboutissants de ce dossier dont Gilbert Diendéré et Djibril Bassolé sont soupçonnés d’être les instigateurs. Selon nos recoupements, l’audience se tiendra à la salle des banquets de Ouaga. Au terme de cette longue bataille judiciaire, les prévenus pourraient écopés de lourdes peines.
Ces généraux qui sont accusés d’avoir mené ce coup d’Etat manqué, sont accusés d’attentat à la sûreté de l’État, meurtres, coups et blessures volontaires.
Quant au général Djibril Bassolé, ancien chef de la diplomatie, est lui poursuivi pour trahison sur la base de l’enregistrement d’une conversation téléphonique qu’il aurait eue avec le président de l’Assemblée nationale ivoirienne, Guillaume Soro, dans laquelle celui-ci semble affirmer son soutien au putsch de septembre 2015. Cette audience qui s’ouvre mardi va connaître un fort détachement des forces de sécurité publique. L’objectif est de dissuader les partisans et proches des accusés qui envisagent organiser des mouvements pour manifester leur état d’esprit ce mardi, jour du procès.
Par ailleurs, ce procès marque un tournant décisif dans la vie des victimes de l’acte. Une lueur d’espoir naît alors.
Ainsi en a décidé la justice burkinabè pour connaître les tenants et les aboutissants de ce dossier dont Gilbert Diendéré et Djibril Bassolé sont soupçonnés d’être les instigateurs. Selon nos recoupements, l’audience se tiendra à la salle des banquets de Ouaga. Au terme de cette longue bataille judiciaire, les prévenus pourraient écopés de lourdes peines.
Ces généraux qui ont mené ce coup d’Etat manqué, sont accusés d’attentat à la sûreté de l’État, meurtres, coups et blessures volontaires.
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