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Démission de Dato : « La Cour a subi un lynchage qu’on n’a jamais vécu », selon Iréné Agossa

Par Alexis Mèton
il y a 3 ans
(Tout le monde en parle)
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Le président du parti Le nationaliste réagit à travers une vidéo posté qui fait le tour des réseaux sociaux au sujet de la démission du conseiller Simplice Dato. Il dénonce une perpétuelle violation des décisions de la Cour, un principe érigé en règle par le régime de la rupture. Le président du parti Le nationaliste, se demande jusqu’où le président de la République va-t-il défier la constitution qu’il avait pourtant jurée respecter ? Dans une vidéo qu’il a postée, il explique que la démission d’un membre de la Cour n’est pas une violation de la Constitution.

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Mais ne pas procéder au remplacement de ce dernier est une violation de la Constitution. Une situation qui devrait interpeller tous les citoyens pour qu’ils prennent leur disposition. « Le respect de la constitution doit faire l’objet de débat », pense-t-il regrettant que personne n’en parle parce que l’objectif fixé n’est pas atteint. Au sujet des voix qui se sont élevées après la démission du conseiller Dato, Irené Agossa estime que « La Cour a subi un lynchage qu’on n’a jamais vécu ».

Dans la même vidéo, M. Agossa a constaté que le Bénin est dans une crise institutionnelle et incrimine le président de L’assemblée nationale qui n’a pas fait désigner les membres du Cos-Lépi conformément à la loi et n’a pas non plus appliqué la décision de la Cour constitutionnelle.

« La crise institutionnelle s’installe dans notre pays…, c’est grave », se désole-t-il.

Il en déduit que le Bénin ne peut pas avoir un développement cohérent avec cette situation de crise institutionnelle.

Commentaires 1

  1. Paysan dit :
    6 février 2018 à 19:26

    La CC sous Dossou, et maintenant sous Holo, deux individus douteux, s’est “clochardisee”. Il s’est suit que n’importe qui dit n’importe quoi sur la CC qui a perdu le respect que le citoyen lamda lui vouait du temps de dames Pognon et Houinsou… En ce sens, Agossa, le griot de Yayi, n’a-t-il pas raison?

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