Après la fraude généralisée constatée dans les épreuves des examens blancs dans le département du Mono et celui de l’Ouémé, les premières sanctions sont tombées dans ce sous-secteur de l’éducation. Le ministre en charge de l’enseignement secondaire, Mahougnon Kakpo a frappé dans les rangs des directeurs des collèges et des chefs services des directions.L’heure est aux sanctions après les fuites constatées dans l’organisation des d’examen-blanc dans les départements du Mono et de l’Ouémé. Après une réunion de crise tenue tard dans la hier au cabinet du Ministre en charge de l’enseignement secondaire, Mahougnon Kakpo, les premières têtes sont tombées.
Dans le Mono, l’Inspecteur Pédagogique Délégué a été relevé de ses fonctions. Le Chef Service des Examens et Concours a été également relevé ainsi que tous les six chefs d’établissement de Lokossa impliqués dans l’organisation de l’examen blanc. La vague de limogeage a emporté aussi les Chefs de zone.
Les acteurs dont les responsabilités sont situées dans cette vague de fuite des épreuves ont été aussi frappés dans l’Ouémé. Dans ce département, l’Inspecteur Pédagogique Délégué et trois inspecteurs de pool et leurs deux collaborateurs ont été relevés de leurs postes. La Directrice du Ceg Danto est aussi empotée dans la vague des relèvements.
Le Ministre Mahougnon KAKPO est allé encore loin dans l’assainissement du sous-secteur des Enseignements Secondaire, Technique et de la Formation Professionnelle. Il n’a pas épagné les services associés à l’organisation de ces examens-Blanc et les privés impliqués dans la fraude. Ainsi, dans des centres de photocopies associés, des interpellations ont été faites.
Quant aux chefs des établissements privés ayant eu contact avec les épreuves par le biais des IPD, ils sont interdits de prendre part aux activités liées aux examens.
Bon travaille talon mérite encord
Punir les fraudeurs par un court séjour en prison serait l’idéal.
Malgré tous les efforts déployés pour arrêter la fraude et la corruption, certains se donnent encore à ce sport alors ils sont maudits. Il faut les juger publiquement et les radier de la fonction publique, quant aux privés il faut les écarter à jamais du système éducatif. C’est inadmissible.
Napoléon1 bonne analyse!!!!!
je suis fier de voir la fin de l’impunité est réelle dans mon pays. Les opposants aveugles du pouvoir diront encore que c’est sélectif. je salue le leadership du president qui est entrain de mettre un grand coup dans la fourmilière. Les gens apprécieront plus tard surement
Les relever de leur fonction , c est peu. Ils devraient être jetés en prison
Est-ce que les têtes sont encore bien pensantes chez nous au Bénin?
le moindre qu’on puisse dire, c’est que « les educateurs tricheurs forment des générations de tricheurs ».
Si non, valait-il la peine de devoir tricher pendant un Examen blanc qui n’est rien d’autre qu’un moyen pour aider les candidats à s’imprêgner de l’atmosphère d’un Examen réel. Afin de se préparer pour le sérieux. Il n’y a donc rien de matériel à gagner dans un Examen blanc. Mais puisque le réflex de la tricherie est déjà dans les gènes, il faut tricher.
C’est grâve pour notre pays quand toute une génération n’a que ce réflex.
C’est tout à fait juste ce que vous avez dit.
Décision salutaire! Educateurs tricheurs forment des générations de tricheurs et voleurs de demain.
Exactement..!