De nouvelles révélations sur le projet d’attaque contre le président français, Emmanuel Macron par des personnes proche de l’extrême droite. L’enquête suit son cours!C’est en marge de la « commémoration du 11 novembre » que Jean-Pierre B et ses cinq compagnons auraient décidés de mettre leur plan minutieusement étudié contre Emmanuel Macron en exécution. Ayant un age compris entre la vingtaine et la soixantaine, ils ont été interceptés par les forces de l’ordre suite à une première investigation menée par le parquet de Paris depuis le 31 octobre.
Un projet d’attaque conspiré dans le secret mais exposé au grand jour par des appels téléphoniques, ces six présumés terroristes ont été placés en garde à vue. Pour l’instant, seule une femme «a été remise en liberté vendredi matin» en attendant la suite de l’enquête. Un homme arrêté le jeudi soir aurait, lui aussi, eu la «levée» de sa garde à vue. Cette action qu’aurait planifiée ces personnes proches de l’extrême droite contre le président Macron a été soldée par un échec.
En effet, Jean-Pierre B, qui, s’était muni d’une arme blanche (poignard) a été arrêté par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) à Moselle. D’après des sources concordantes, le projet d’attaque n’a apparemment pas pu se réaliser parce que ce dernier se serait rendu au même lieu que le chef de l’Etat afin de commettre son crime. Notons que le temps réglementaire d’une garde à vue pour des faits terroristes est de 96 heures . Les quatre personnes toujours en garde à vue par la police risquent de passer ces 96 heures jusqu’à preuve de leur innocence.
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