En France, un vent d’effroi aurait soufflé sur la région de l’Alsace alors que Malek Chekatt, le frère du tireur fou de décembre dernier à Strasbourg , postait sur les réseaux sociaux un message à connotation terroriste. « Ce soir, je fais la une de BFM, à 18H30 précise » a t-il écrit. Alertée, la police l’arrête. L’homme de 38 ans comparaîtra devant le tribunal de Strasbourg ce lundi à partir de 14 heures pour « menaces de mort en récidive ».
« Veni vidi Vici… »
Malek Chekatt avait déjà été condamné « pour des faits de nature similaire mais hors du contexte d’un attentat » en 2015. Après avoir laissé lire qu’il ferait l’actualité sur BFM, Malek a ajouté qu’il avait tout planifié. « Tout est planifié. Veni vidi Vinci (sic) »a t-il fait savoir. La police judiciaire a pris très au sérieux ces menaces puisque son frère Chérif, l’auteur de l’attentat du marché de noël avait publié un post similaire avant de passer à l’acte.
Un poisson d’avril ?
Des messages postérieurs à sa publication explosive, tendraient à vouloir laisser croire à un canular de la part de l’auteur : « Mince on est le premier mars et pas le premier avril » aurait-il poursuivi. Cependant, La police pince-sans-rire et prompte, lui a mis la main au collet ce même vendredi à 16 heures selon la presse.
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