L’équipe nationale béninoise, les ‘’Ecureuils’’ se qualifiait cette année pour une quatrième participation aux phases finales de football de la Coupe d’Afrique des nations. Une qualification longtemps espérée après de nombreuses tentatives infructueuses. Aussi selon les observateurs, et notamment la star mondiale camerounaise du football, le Bénin, pourrait ne pas faire figure de simple outsider.
Le Bénin, « n’a rien à perdre »…
Assurément, l’équipe béninoise de football, serait, rapporte la presse nationale une équipe sans gros palmarès ; jamais qualifiée pour la Coupe du Monde depuis sa mise en place, et seulement quatre fois qualifié pour la CAN, la compétition continentale, en, 2004, 2008, 2010 et maintenant 2019 ; les Ecureuils feraient assurément figure de parfait outsider.
De ce point de vue, l’équipe qui d’ailleurs contre toute attente avait réussi à se qualifier, pourrait encore créer la surprise ; c’est d’ailleurs ce qu’aurait affirmé le multiple ballon d’or, Samuel Eto’o ; à un média africain ; « Ce sont des équipes qui jouent très bien au football, qui ont pratiqué un très bon football et qui ont mérité d’être là » faisant allusion au Bénin et à la Mauritanie, elle également logée à la même enseigne. Et la star mondiale, de préciser pour le Bénin, « après avoir terminé deuxième derrière l’Algérie dans leur groupe, tout en éliminant le Togo et la Gambie. C’est le genre d’équipe qui n’a rien à perdre ».
C’est vrai qu’après neuf années d’absence des phases finales de la compétition africaine, les Ecureuils du Bénin n’auraient que les coudées franches pour sortir tout leur football et se faire d’abord plaisir sur les pelouses égyptiennes. D’ailleurs, pour le ministre Oswald Homeky, ministre béninois des Sports qui se confiait à un média africain en Mars dernier; les autorités gouvernementales auraient à cœur de faire la présence de 2019, la première d’une longue série ininterrompue ; « Ce retour est considéré comme une surprise, mais ce que nous souhaitons, c’est qu’à l’avenir la présence du Bénin en phase finale de la CAN devienne quelque chose de normal ».
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